miércoles, 23 de septiembre de 2015

Les Régates Royales-Trofeo Panerai. "Mas vale estar en tierra... "

"Mas vale estar en tierra con ganas de haber navegado que estar navegando con ganas de haberse quedado en tierra"


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Eso dice uno de los sabios refranes del completo refranero español... sin duda hubieses sido un error salir hoy del amarre con las rachas que hacían volar tenderetes y pertenecías mal estibadas.

Inteligencia sobre A...   Las pruebas que no han salido quedan aplazadas. No hay más pruebas hoy. Los Dragones aún mantienen esperanzas, pero finalmente también se enarbola para ellos las mismas señales

El vídeo de ayer:


Y más con estas reliquias de aparejo tan complicado, que en muchos casos ni siquiera cuentan con una tripulación que pueda salir airoso en estas situaciones. A la fuerza del viento había que sumar la mar que se había formado por estar soplando toda la noche, así que... barcos bien amarrados y disfrutar del, aunque ventoso, soleado día en Cannes. Una pena, hoy me tocaba navegar en el Moonbeam IV.

Como siempre, una masa humana llenaba los pantanales desde primera hora del día

Tensa espera...

Hoy era el día del concurso de la elegancia, y el jurado ha pasado por todos los barcos 


Y si no hay regata, lo mejor es ir arreglando los desperfectos anteriores


Y como no se puede hacer nada más, recogemos y a dar un pasito por la parte antigua de Cannes.

Mañana más


XXX Trofeo Príncipe de Asturias en Baiona 2015

Así fue el XXX Trofeo Príncipe de Asturias 2015


(Fotograma del vídeo)

martes, 22 de septiembre de 2015

Les Régates Royales – Trophée Panerai. Primer día con viento in crescendo

Aplazamiento en tierra para comenzar el primer día de competición, pero la previsión, y así se cumplió, vaticinaba que el viento térmico no iba a faltar a la cita, y así fue, con una entrada en tromba de unos 18 nudos que se mantuvo durante toda la tarde, arreciando al final de la misma cuando ya los barcos y tripulaciones se encontaban al abrigo del puerto. 
Bonito recorrido por la bahía de Cannes, siempre jalonada de hermosas villas que ascendían por los montes, con una boya de demarque al viento, corta popa hasta la playa para continuar hasta otra situada al viento en el exterior de la bahía, popa hasta una boya de trasluchada y través hasta la boya situada en la playa... otra vuelta y llegada. Han sido unas 20-22 millas. 


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Y llegan los primeros líderes. 

Los Áuricos están liderados por el "Marigold", barco que representa al Real Club Náutico de Barcelona.


Gran regata del "Moonbeam IV", del RCNP, que ha podido con todos los que componen su grupo y se aúpa al primer puesto provisional de la clase Big Boat.

Mikael Créac'h, patrón del Moonbeam IV, durante la reunión de tripulación pre-regata

El "Yanira" del RCNB ocupa una meritorio 8ª posición en la clase más numerosa, la de Clásicos, que está liderada de momento por el "Ea"

El "Yanira", de Andrés León, timoneado por Juan Valdivia

"Cholita" lidera en Época Marconi <15 en="" eonore="" hace="" lo="" marconi="" nbsp="" poca="" propio="" y="">15. Los Áuricos están liderados por el "Marigold".

"Helisara" ocupa la primera posición provisional entre los Espíritu de Tradición. Los Tofinu están liderados por el "Pitch".


Les Régates Royales – Trophée Panerai ont l’habitude d’offrir de belles conditions de navigation en rade de Cannes : une mer désordonnée mais maniable, une brise modérée prenant du coffre au fil de l’après-midi, une débauche de toile envoyée sous un soleil généreux. Cette première manche pour les Yachts de Tradition a comblé public et équipages ! Et les Dragon ont aussi pu déployer leurs ailes sur deux manches toniques dans le golfe Juan…



Pour cette première journée des Régates Royales dédiés aux yachts de tradition, Éole a exprimé son plus beau souffle quand Poséidon éructait une mer chaotique et désordonnée. De quoi ravir les équipages répartis en sept classes pour un tour de baie triangulaire dans une brise de Sud-Ouest d’une quinzaine de nœuds, grimpant jusqu’à vingt pour clore la partie.
Mais si les Grâces, symboles de la splendeur, de l’allégresse et de l’abondance étaient au rendez-vous, se saluant comme dans la Grèce antique du mot « réjouis-toi ! » (χαῖρε), Scylla aussi était tapie dans les eaux troubles de la Grande Bleue… Alors que le coup de canon du départ tonnait au large des Lérins, la nymphe transfigurée en monstre surgit au bateau comité pour éperonner sa rivale ! Le choc fut rude et spectaculaire, mais les équipiers de Mariska furent épargnés de ce coup de rostre d’Elena qui emboutit le bas-hauban tribord et propulsa le 15mJI sur les flots hachés : retour au port et check-up complet avant d’envisager une nouvelle navigation en toute sécurité.

Charites cannoises
Rage, désespoir, infamie… le Jury aura à statuer sur cet abordage. Mais les lauriers n’étaient point flétris pour autant car les quatre-vingt autres nymphes haliennes qui virevoltaient sur les écumes blanchies par humeurs éoliennes, purent exposer tous leurs atours : les voiles de flèche fendaient les nues, les spinnakers et foc ballons s’épanouissaient comme fleurs au printemps, les équipages ahanaient sur des cordages tendus comme des arcs, les étraves creusaient leur sillon comme un laboureur en automne… Et les manœuvres s’enchaînaient dans cette brise de Sud-Ouest d’une quinzaine de nœuds qui avait remplacé le calme matinal aux douze coups de midi : deux bords voire plus pour parer la bouée de dégagement, une descente au portant pour enrouler la bouée de La Napoule, un long louvoyage pour contourner la marque du large avant de redescendre vers Cannes pour un bord final devant le vieux port dans un vent qui ajoutait encore quelques nœuds supplémentaires pour faire surfer les coques parfois centenaires !
Car il y avait bien plus que trois Grâces sur ce plan d’eau gondolé tel un sentier africain après la pluie : Shamrock V, le Class J écossais fut comme à son habitude, le premier à couper le cordon final quand le reste de la flotte bataillait âprement pour le gain d’une ou deux places en temps compensé. Dans une débauche de toile, Moonbeam IV montrait le chemin à son grand frère Moonbeam of Fife et si onze années les séparent à leur mise à l’eau, seules quelques encablures les départagent pour cette première manche des Régates Royales. Les voiliers Auriques profitaient de ces conditions idéales pour exprimer tout leur potentiel et de fait, les « plus âgés des anciens » démontraient que la valeur doit parfois attendre le nombre des années…

La ruse du Dragon
Après la victoire du Britannique Ivan Bradbury (Blue Haze) lundi dans une brise plutôt légère, la deuxième manche des Dragon tombait un peu comme un couperet pour les trente-huit monotypes sur plans Johan Anker ! Car si les équipages ont dû patienter ce mardi matin pour que le vent daigne sortir de son terrier, ils furent aux anges quand la brise commença à rider le golfe Juan : quinze nœuds de secteur Sud-Ouest et un clapot court donnait encore plus de relief aux tacticiens qui devaient prendre en compte l’effet Venturi entre l’île de Sainte Marguerite et la pointe Croisette…
A ce jeu, le rusé germanique Michaël Schmidt (M3) donnait de la voix et défrichait la bonne voie pour s’imposer avec maestria : au cumul des deux régates, l’Allemand prenait le commandement devant le Britannique qui finissait cinquième de cette deuxième manche, tandis que sa compatriote Gavia Wilkinson-Cox (Jerboa) s’adjugeait la troisième marche du podium provisoire à égalité de points avec l’Italien Giuseppe Duca (Cloud). Mais sur le coup de 16h, une nouvelle manche était lancée dans un flux encore plus consistant de Sud-Ouest

Focus sur… les Houaris marseillais
Sur le quai Laubeuf, un espar déborde du port : celui d’Alcyon 1871, le Houari marseillais d’Édith et Marc Frilet… Or lorsque le couple décide de construire à l’identique en 2012 ce voilier de course du 19ème siècle qui a fait les beaux jours de la rade de Marseille, il ne reste aucun plan puisque ces Houaris étaient dessinés par leurs charpentiers. Pour retracer les lignes d’eau et l’incroyable gréement portant 150 m2 au près pour 8 mètres à la flottaison (seule contrainte de jauge à l’époque), 9,30 mètres au pont et près de 21 mètres hors tout, Édith Frilet s’est appuyée sur les archives du journal « Le Yacht », sur le livre d’un de ses ancêtres (Loreto & Horacio) et sur une collection de daguerréotypes pour que l’architecte marseillais Gilles Vaton et le constructeur Daniel Scotto di Perrotolo puissent retrouver les sections.
« Ces bateaux étaient construits à l’unité entre 1850 et 1890, de façon empirique et chantiers comme propriétaires gardaient précieusement leurs plans pour ne pas se faire copier. Alcyon était le Houari marseillais de mon arrière-arrière grand-père, Émilien Rocca descendant des armateurs génois et l’un des fondateurs de la Société Nautique de Marseille (La Nautique) parce qu’il voulait organiser des régates plus affûtées que celles de la Société des Régates de Marseille (SRM) ! Il possédait auparavant le Zingara, racheté par Guy de Maupassant et rebaptisé Bel Ami II… »
Ces Houaris marseillais étaient des bateaux extrêmes en termes de voilure et radicaux par leur largeur de 3,60 mètres, imposant un équipage professionnel puisé parmi les cap-horniers et les matelots des trois-mâts : ils naviguaient jusqu’à plus de trente nœuds de vent ! Mais quand la jauge anglaise a déferlé sur la Côte d’Azur (les Britanniques ont « colonisé » la Riviera à la fin du 19ème siècle), puis quand le monde nautique a adopté la Jauge Métrique en 1906, les Houaris marseillais ont été éliminés en raison de leur trop grande largeur, de leur plan de voilure démesuré, de leur lest mobile et variable inspiré par les Sandbaggers américains
« Alcyon 1871 respecte les plans du voilier familial avec ce gréement houari militaire qui est à l’origine des grand-voiles Marconi ! Avec une bôme de dix mètres et un bout dehors de sept mètres… Pour un poids de cinq tonnes seulement dont 500 kilos dans la quille (1,90 mètre de tirant d’eau) et 700 kilos dans les fonds. Et selon les conditions météo, l’équipage embarquait des sacs de sable dans la brise pour augmenter le lest de 300 à 500 kilos… Car c’est un bateau qui gîte très peu : il est très raide à la toile par ses formes très larges et ses fonds plats. Au final, c’est l’ancêtre des Mini Transat et autres IMOCA ! »

Finale du Trophée Panerai
Pour sa neuvième édition, le Panerai Classic Yachts Challenge s’achève une nouvelle fois avec les Régates Royales de Cannes, un rendez-vous devenu incontournable pour tous les voiliers de Tradition. Le circuit international Panerai s’appuie en effet sur quatre plans d’eau dans le monde avec l’Antigua Classic Yacht Regatta (Antilles : 15-21 avril 2015), la Panerai British Classic Week à Cowes (Angleterre : 18-25 juillet 2015), le circuit Nord-Américain comprenant la Marblehead Corinthian Classic Yacht Regatta (7-9 août 2015), la Nantucket Opera House Cup (12-16 août 2015) et la Newport Museum of Yachting Classic Yacht Regatta (4-6 septembre 2015).

Et en Méditerranée, le Panerai Classic Yachts Challenge inclut quatre rendez-vous majeurs avec les Voiles d’Antibes (France : 3-7 juin 2015), l’Argentario Sailing Week (Italie : 18-21 juin 2015), la Mahon XII Copa del Rey de Barco de Epoca (Baléares : 25-29 août 2015) et les Régates Royales de Cannes (France : 22-26 septembre 2015). Le classement du Panerai Classic Yachts Challenge s’appuie pour le circuit méditerranéen sur ces quatre épreuves pour les quatre catégories retenues : Vintage, Classic, Big Boats, Spirit of Tradition. Cannes est donc l’occasion pour tous ces équipages de mettre en valeur leurs qualités régatières pour conclure ce circuit dans la Grande Bleue…

Le programme des Régates Royales
Mercredi 23 septembre : 9h00, briefing skippers Traditions ; 10h00, concours d’élégance des Traditions ; 11h00, course des Dragon (Trophée Champagne Comte de Cheurlin) ; 12h00, course des Traditions.
Jeudi 24 septembre : journée Florence Arthaud ; 9h00, briefing skippers Traditions ; 11h00, course des Dragon (Trophée BeachComber Hotels) ; 12h00, course des Traditions.
Vendredi 25 septembre : 9h00, briefing skippers Traditions ; 11h00, course des Dragon (Trophée Eutelsat) ; 12h00, course des Traditions : 20h00, remise des prix des Dragon et soirée Tradition-Panerai.
Samedi 26 septembre : 9h00, briefing skippers Traditions ; 12h00, course des Traditions ; 20h00, remise des prix des Traditions et cérémonie de clôture.
Dimanche 27 septembre : 11h00, course de liaison vers Saint-Tropez.

Acrobates
En fin d’après-midi de ce mardi, les équipiers des Régates Royales ont eu le loisir de démontrer leur agilité : après les ponts couverts d’embruns, c’est à terre qu’ils se sont affrontés amicalement sur le stand de l’AccroVoile, un mât de hunier monté dans le village du quai Laubeuf. Objectif de cette escalade : être le relais de trois équipiers le plus rapide à sonner la cloche en haut de l’espar, à huit mètres de haut… et à redescendre en rappel. Notons que le record de la montée est détenu par Jérémie de Bordeaux en 6,9 secondes !

Prévisions météo
Météo France prévoit pour la journée de mercredi 23 septembre un ciel qui se dégage progressivement au lever du jour et une brise décroissante au fil des heures. De Sud-Ouest 6-7 avec parfois rafales à 8 Beaufort le matin, le vent va tourner de 180° sur les coups de midi avec une brise d’Est 10-15 nœuds mollissant en fin d’après-midi jusqu’à 5-7 nœuds. La mer agitée à forte le matin va s’amortir l’après-midi avec une houle de Sud-Ouest 1,5 à 2 mètres s’apaisant au gré d’un soleil tombant. Bref une fort belle journée pour régater en baie de La Napoule pour les voiliers de Tradition et de quoi lancer plusieurs manches dans le golfe Juan pour les Dragon!

Fuente: Prensa Les Régates Royales – Trophée Panerai 

Mini Transat Islas de Guadalupe.El golfo de Vizcaya realiza la primera selección.

• Los líderes han pasado el Cabo de Finisterre
• El francés Romain Mouchez llega a Lorient (costa francesa) para un examen médico
• Varios patrones han previsto paradas cerca de los puertos españoles


Como estaba previsto, el golfo de Vizcaya ha hecho una selección de la flota sin piedad. Mientras que los líderes siguen cabalgando hacia el sur, los de detrás han empezado a sufrir. Entre las ráfagas de viento, una mar siempre abrupta cerca de la costa cantábrica y el frío, los menos aguerridos aguantan con dificultades. Esta situación sirve como pretexto para recordar que la Mini Transat Islas de Guadalupe es una regata de largo recorrido… antes de luchar por la clasificación, hay que llegar.

El cabo de Finisterre ya queda lejos de la popa de Davy Beaudart que continua dominando la flota de los Mini. El francés Frédéric Denis (Nautipark) se ha quedado a 27 millas del líder y cinco barcos se mantienen a menos de tres millas luchando por la tercera posición. Clément Boussou (Le Bon Agent ! Bougeons l’Immobilier) lucha por contener los asaltos de Axel Tréhin (Aleph Racing), Ludovic Méchin y el suizo Simon Koster (Eight Cube), en un mar cada vez más agitado y desordenado con un viento que vira poco a poco hacia el norte.

Los Series: distancias muy cortas
El francés Ian Lipinski (Entreprises Innovantes) se mantiene a una distancia muy corta de Tanguy Le Truquais (Terréal), Benoît H (YCA Dhumeaux Secours Populaire) y Julien Pulvé (Novintiss). En quinta posición, el belga Jonas Gerckens (Netwerk) ha sido el autor de una gran remontada, ya que en tan solo 40 horas ha subido 34 puestos en la clasificación. Jonas decía “soy más bien un diesel”. Está claro que aquí ha encontrado un buen carburante para acelerar sin freno. Tendrá sin embargo que vigilar a los navegantes que han tomado la decisión de pasar al oeste del DST, como Olivier Maillard (Alternative Sailing – Kerhis) y Mathieu Bourdais(Tous au Large): esta opción aumenta sin duda la ruta, pero tendrían que beneficiarles con un poco más de viento y de un mejor ángulo de viento de popa para atacar el descenso a lo largo de la costa de Portugal.

Desgastados por el golfo
Para el resto de la flota, la travesía por el golfo de Vizcaya ha sido algo parecido al purgatorio. No han sido condiciones dantescas, pero la sucesión de rachas sin viento seguidas de un frente frío relativamente fuerte han terminado por sacudir a la flota. Algunos de los patrones han sufrido los daños: el francés Romain Mouchel, con una herida en la mano, ha tenido que parar en Lorient (Francia) y no sabe si podrá volver a salir, Gilles Avril, víctima de una avería (parece que ha perdido el mástil) estará en contacto con un barco de apoyo esta noche. Otros dos participantes se dirigen hacia Gijón: Florian Lakeman (Gimmick) ha certificado su abandono de la regata nada más atracar a causa de una enfermedad. El veterano de la regata, el español Carlos Lizancos llegará también dentro de nada al puerto asturiano.

Maxime Eveillard se dirige hacia La Coruña para solucionar unos problemas en el aparejo. Otros navegantes como el alemán Dominik Lenk o el ruso Yuri Firsov parece que también se dirigen a tierra.

Para los que están en cabeza, la clasificación sigue siendo la motivación principal. El resto de la flota, tendrá que pensar en otras cosas para mantenerse en el partido: recordar el tiempo de preparación, las horas pasadas preparando el barco, los sacrificios que han hecho para realizar su sueño. Al final, siempre queda la promesa de pensar que después de la tormenta, veremos el sol brillar, el barlovento y que algunos delfines acompañarán a nuestros solitarios. En ese momento, las dudas del Golfo de Vizcaya se habrán olvidado. Esta es también la fuerza de los navegantes solitarios, saber olvidar.

Clasificación del 22 de septiembre a las 15h (TU+2)
Clasificación Prototipos (Eurovia Cegelec):
1 Davy Beaudart – 865 – Flexirub à 820,6 milles de l’arrivée
2 Frédéric Denis – 800 – Nautipark à 27,0 nm
3 Clément Bouyssou – 802 – Le Bon Agent ! Bougeons l’Immobilier à 37,4 nm
4 Axel Tréhin – 716 – Aleph Racing à 38,2 nm
5 Ludovic Méchin- 663 - Microvitae à 38,4 nm

Clasificación Series (Ocean Bio-Actif)
1 Ian Lipinski – 866 – Entreprise(s) Innovante(s) à 869,4 milles de l’arrivée
2 Tanguy Le Turquais – 835 – Terréal à 5,4 nm
3 Benoît Hantzperg – 871 – YCA Dhumeaux – Secours Populaire à 6,0 nm
4 Julien Pulvé – 880 – Novintiss à 9,5 nm
5 Jonas Gerckens – 821 - Netwerk à 21,4 nm

Fuente: Prensa Mini Transat Islas de Guadalupe

NAUTICA WATCHES CAMPEON DE CATALUNYA 2015 DE J80

Durante este fin de semana se ha celebrado la 5ª Edición del Campeonato de la clase J80 en aguas de Badalona y organizado por el Club de Vela Badalona.

©Oriol Forn

El campeonato se ha desarrollado en dos jornadas y con un total de 6 regatas que se han celebrado en unas buenas condiciones de viento, el sábado con un 160 que fue rolando hasta un 200 con una intensidad de 6 a 12 Kts. y el domingo el viento fue mas flojo y caprichoso y tras una aplazamiento en el agua se pudieron realizar las tres pruebas programadas.

NAUTICA WATCHES del Club Náutico El Balis patroneado por José Maria van der Ploeg y su tripulación se proclamaron vencedores con 4 primeros puestos y dos segundos y que tras el descarte sumaron un total de 6 Puntos. Segundo quedo el BRIBON Movistar seguido por el NACEX

El acto de premios contó con la presencia del Presidente de la FCV y la Alcaldesa de Badalona.

lunes, 21 de septiembre de 2015

Les Régates Royales de Cannes. Día de registros, documentación y entrenos

Escenario ideal

Las Régates Royales de Cannes celebra su treinta y siete años de existencia: ciento cincuenta barcos distribuidos entre los yates tradicionales, métricas y clases Dragón se entrecruzan la bahía de Cannes durante toda la semana, del 22 al 27 de septiembre. Espectáculo garantizado con un clima particularmente suave!

- "Moonbeam IV" por el Real Club Náutico de Palma y el "Marigold" y "Yanira" del Real Club Náutico de Barcelona serán los representantes españoles en esta regata

- Tras el acto de bienvenida a tripulantes, Jacques Flori, presidente del Yatcht Club de Cannes y Joan Bonet, comodoro del Real Club Náutico de Palma, han tenido una distendida reunión.


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El "Moonbeam IV" navegando durante el entrenamiento de hoy frente a la isla de Saint Honorat

La tripulación del "Yanira"

Jacques Flori y Joan Bonet

Cannes fait de nouveau son cinéma ! Et la Côte d’Azur s’est parée de tous ses atours pour ce festival de régate qui va rassembler les plus beaux et les plus grands yachts du siècle dernier, voir du 19ème pour certains comme Bona Fide (plan Charles Sibbick 1899), Lulu (plan Raibot Caillebot 1897) ou Marigold (plan Charles Nicholson 1892)… Des stars aussi à l’image de Catherine Chabaud et Jean-Yves Terlain qui viendront rendre hommage à Florence Arthaud jeudi 24 septembre, des Figaristes et skippers IMOCA tels Sébastien Audigane (Mariska) et Armel Tripon, de Philippe Monnet (Lys)…
Sur un plan d’eau magique entre massif de l’Estérel et îles de Lérins, la baie de La Napoule devrait être illuminée par un grand soleil toute la semaine et animée par une petite brise plutôt légère mais parfois renforcée à l’entracte par le vent thermique, à l’exception de demain mardi en milieu d’après-midi où le passage d’un front devrait mettre quelques tours supplémentaires au vent d’Ouest…

Bouée ovale!
Et en cette période de Coupe du Monde de Rugby, les Régates Royales sont heureuses d’accueillir Andrea Lo Cicero, l’ex-pilier de l’Équipe italienne qui cumule 103 sélections et quatre Coupe du Monde ! Depuis, le Sicilien est devenu animateur TV pour une émission sur le jardinage et après avoir participé à l’America’s Cup surLuna Rossa, puis au circuit TP-52 sur Azzurra, l’ambassadeur de l’UNICEF fait office en pied de mât sur Chinook. Sistership de Rowdy qui a glané presque tous les trophées des yachts classiques en Méditerranée depuis 2007, ce « New York 40 » est toutefois gréé aurique (a contrario de Rowdy en Marconi) et Andrea Lo Cicero navigue régulièrement à son bord depuis trois saisons : le match entre les deux monotypes dessinés par Nathanaël Herreshoff en 1916 s’annonce viril !
Une soixantaine de Yachts de Tradition, véritables voiliers d’époque entretenus par des propriétaires passionnés tel le Classe J Shamrock V, Elena, Bona Fide… et de répliques ou voiliers remis en état au fil des ans comme Avel (1896), Moonbeam (1903), Mariquita (1911), auxquels il faut ajouter quelques coursiers IOR des années 70 comme Helisara, Palynodie, Il Moro di Venezia ou Ganbare et quarante Dragon, le monotype international qui rassemble le gotha de la voile, tel le Britannique Ivan Bradbury (vainqueur de l’unique manche du jour), le Russe Anatoly Loginov, l’Italien Giuseppe Duca ou le Danois Soren Pehrsson, mais aussi des Classes Métriques avec une flotte de 6mJI, de 8mJI, de 12mJI et même 15mJI qui vont s’affronter cinq jours durant sur les eaux cannoises.

Mariska & Tuiga
Tuiga et Mariska sont sans conteste les plus assidus des yachts classiques sur les rendez-vous méditerranéens et même bretons et britanniques ! Tuiga, le 15mJI construit en 1909 sur les plans de William Fife pour le Duc de Medinacelli est un sistership d’Hispania, le voilier du roi d’Espagne Alphonse XIII. Issus de la Jauge Métrique créée en 1906 à Londres pour harmoniser les règles entre voiliers américains, britanniques, scandinaves, français et suisses, les 15mJI sont les grands frères des 12mJI, connus pour leur participation à la Coupe de l’America entre 1958 et 1987. La catégorie avait même été retenue pour les Jeux Olympiques de 1908 à Londres aux côtés des 6mJI, 7mJI, 8mJI et 12mJI, mais l’absence de concurrents réduisit à néant les efforts pour dynamiser cette nouvelle série.
Le premier des 15mJI construit est le plan Mylne (1907) Ma’oona et le dernier réalisé fut Isabel-Alexandra, un plan de Johan Anker (1913), le père du Dragon… Il n’y eu finalement que dix-neuf 15mJI mis à l’eau : Shinna (Fife 1908), Mariska (Fife 1908), Ostara (Mylne 1909), Vanity (Fife 1909), Tuiga (Fife 1909), Hispania (Fife 1909),Anémone II (Chevreux 1909), Encarnita (Guédon 1909), Jeano (Mylne 1910), Sophie-Elizabeth (Fife 1910), Paula II (Mylne 1910), Senta (Oertz 1911), The Lady Anne(Fife 1912), Istria (Nicholson 1912), Maudrey (Fife 1913), Paula III (Nicholson 1913), Pamela (Nicholson 1913). Mais il ne reste plus en état à ce jour que Mariska, Tuiga, Hispania et The Lady Anne…
Après deux années et demie de travaux de rénovation entre 2007 et 2009 par les Charpentiers Réunis de Méditerranée installés à La Ciotat, Mariska revient naviguer en course mais cette fois pas contre son « petit frère » Tuiga, le voilier emblématique du Yacht Club de Monaco ! Retrouvé dans le Nord de la Hollande à l’état de house-boat avec 3,50 mètres en moins et des emménagements totalement transformés, le troisième 15mJI construit a subi une véritable cure de jouvence en remplaçant une pièce sur deux et en ajoutant neuf membrures supplémentaires par rapport aux 72 qui compose sa structure.
Mariska fut à l’origine commandé par A.K. Stothert, un armateur de voiliers de course depuis 1894… Il remporta la Coupe Internationale des 15mJI à Cowes en 1909, mais fut revendu au capitaine F.E. Guest, puis rejoignit les eaux suédoises avant d’être transformé en yawl en 1923 par un nouveau propriétaire : il fut jusqu’en 2001 un voilier de croisière avant de s’amarrer sur un canal hollandais. Cannes reste donc le plan d’eau idéal pour l’histoire mouvementée de ces deux yachts prestigieux…

Caractéristiques des 15mJI

Mariska
                                                      Tuiga
Architecte (année)Fife (1908)                     Fife (1909)
Constructeur W. Fife & Son                        W. Fife & Son
Restauration Charpentiers Réunis (2009)    Fairlie (1993)
Longueur hors tout 27,60 m                        28,70 m
Longueur de coque 23,40 m                        23,18 m
Flottaison 15,85 m                                       15,68 m
Largeur 4,20 m                                              4,30 m
Tirant d’eau 2,75 m                                       3,00 m
Surface de voile (près) 380 m2                     370 m2
Déplacement 35 t                                           46 t

Quatre-vingt-six printemps !
Tout comme les Régates Royales organisées pour la première fois en 1929 en l’honneur du roi Christian X du Danemark, le Dragon fête ses quatre-vingt-six ans d’existence ! Long de 8,90 mètres, large de 1,95 m, déplaçant 1 700 kg pour 27 m2 de voilure au près, ce monotype dessiné par Johan Anker en 1929 compte plus de 3 000 exemplaires dans le monde. Il fut même sélectionné pour les Jeux Olympiques de 1948 à 1972, le Norvégien Thor Thorvadlsen s’imposant à Londres (1948) et Helsinski (1952), le Suédois Folke Bohlin à Melbourne (1956), le Grec Constantin II à Rome (1960), le Danois Ole Berntsen à Tokyo (1964), l’Américain George Friedrichs à Mexico (1968) et l’Australien John Cuneo à Munich (1972).
C’est à la suite d’un concours organisé par le Royal Göteborg Yacht Club en 1927 afin de créer une classe monotype économiquement abordable pour trois équipiers, que l’architecte norvégien pourtant membre du jury remporta la mise… Le premier 20m2 (le premier nom du Dragon) fut construit en 1928, mais il fut réellement diffusé en série en 1929. Il conquiert alors l’Ecosse en 1935, puis Cowes au point que la future reine Élisabeth reçut en cadeau le Dragon Bluebottle ! Modifié en 1945, le plan de voilure gagna en surface avec 27m2 au près et surtout un spinnaker.
Les Français commencèrent à constituer une flotte après la seconde guerre mondiale, principalement à Deauville, en Bretagne, à Arcachon et à Cannes. Chasse gardée des Scandinaves pendant des décades, les régates de Dragon sont désormais souvent dominées par les équipages venus de l’Europe de l’Est : Russes, Ukrainiens, Slaves… Mais pour cette première et unique régate de ce jour, c’est le Britannique Ivan Bradbury qui s’imposait dans les petits airs du golfe Juan !

Demandez le programme !
Mardi 22 septembre : 11h00, course des Yachts Classiques.
Mercredi 23 septembre : 11h00, course des Dragon ; 12h00, course des Yachts Classiques et Métriques.
Jeudi 24 septembre : 11h00, course des Dragon ; 12h00, course des Yachts Classiques et Métriques.
Vendredi 25 septembre : 11h00, course des Dragon ; 12h00, course des Yachts Classiques et Métriques.
Samedi 26 septembre : 11h00, course des Dragon ; 12h00, course des Yachts Classiques et Métriques ; 18h30, remise des prix.
Dimanche 27 septembre : 11h00, course de liaison vers Saint-Tropez.

Concerts tous les soirs
Le village des Régates Royales sera animé tous les soirs par un concert : rock & roll, gitan, jazz, variétés ! Du mouvement après une journée en mer…

Nouvelle collection
Partenaire des Régates Royales depuis 2007, MarinePool propose une nouvelle collection de vêtements dédiés à l’épreuve. T-Shirt, bermuda, blouson, polo, casquette, chemise… portent tous les couleurs et le sigle des Régates Royales de Cannes !

Prévisions météo
Avec l’arrivée d’un double front venu de l’Atlantique, le beau temps et la petite brise de ce lundi vont faire place à un renforcement du vent d’Ouest demain mardi après-midi. Pour autant, le soleil restera de la partie avec très peu de vent en matinée, du Sud-Sud Ouest d’une dizaine de nœuds en début d’après-midi puis quinze à vingt nœuds d’Ouest vers 17h00. Les températures resteront stables autour de 26°C dans l’après-midi et cela va se confirmer pour toute la semaine. Côté vent, la brise va rester plutôt faible à modérée jusqu’à dimanche prochain…

Fuente: Prensa Régates Royales de Cannes

Quantum se lleva la Cascáis Cup; Azzurra la gloria

El barco de la familia Roemmers gana la última manga de la temporada, con Quantum detrás que se alza con su segundo triunfo del año

Takashi Okura logra el título de armador-caña de 2015 al terminar con Sled en el podio final de 52 SUPER SERIES por detrás de Azzurra y Quantum


Nadie se puede quejar del final de temporada de 52 SUPER SERIES en Cascáis. El nuevo ganador del circuito, Azzurra, venció la última manga de la temporada y Quantum se hizo con el título de la Cascáis Cup. También Sled salió más que contento del Atlántico al conseguir, por sólo tres puntos, el tercer puesto en el podio de la temporada y, además, el título para su armador de mejor caña no profesional.

Azzurra dijo adiós a sus esperanzas de ganar su tercera prueba de la temporada en la primera manga de hoy. Hicieron un sexto puesto, mientras que Quantum se marcaba un segundo. Se quedaban a nueve puntos de la victoria final en Cascáis y sabían que la tripulación liderada por Ed Baird no iba a hacerles un regalo semejante. Así que, sin nada que perder, se lanzaron a hacer la regata perfecta. Y la hicieron. Firmaron la manga que todos sueñan, pero que únicamente los grandes campeones son capaces de rubricar.

Antes de salir tomaron una determinación que sólo se podía desarrollar en la última manga de la temporada, navegar sólo con el génova izado y no llevar ningún otro de repuesto o de alternativa si cambiaba el viento. Buscaban ligereza. Y les salió perfecto. Ganaron de cabo a rabo. Parecía como que los demás les daban las credenciales para intentarlo, les dejaron solos. Fueron los únicos que decidieron ir claramente por el pin de salida. Así, Parada pudo medir los tiempos a la perfección para pisar la línea en la última centésima de segundo legal y a una velocidad de nueve nudos. El mejor caña de la temporada se había lucido con su precisión. Fueron capaces de, pese a haberse ido a estribor, cruzar por delante de toda la flota en busca del lado derecho. Cuando cortaron las proas de todos los rivales se veían ya vencedores. Y así fue. Lo habían vuelto a hacer. Habían ganado su manga número 12 de la temporada de las 46 disputadas.

Quantum Racing fue muy consistente para asegurar el triunfo en la Cascáis Cup. Hoy cerraron la victoria en la primera manga con un segundo puesto, sólo superados por Vesper. Y en la segunda se sintieron cómodos yendo cerca de Azzurra y pelearon con el Alegre de Andrés Soriano por la segunda posición en la manga, puesto que al final cedieron. No tenían que hacer nada más, sino disfrutar ya de su llegada a puerto y darse el baño de champán de los campeones. Quantum se dejó el título de la temporada en la primera parte de la temporada, pero en la segunda han sido los grandes dominadores con su victoria en la Copa del Rey y en Cascáis. A 2016 llegarán con toda su fuerza. Nadie lo duda.

Los otros dos grandes triunfadores de hoy han sido el Vesper al alcanzar el tercer lugar del podio en la Cascáis Cup, en su primera regata de la temporada en 52 SUPER SERIES. El barco de Jim Swartz ha sido muy consistente en aguas del Atlántico y, además, ha dejado el detalle de deportividad al ofrecer una de sus velas mayores a Spookie para que pudiera seguir compitiendo en la regata portuguesa.

Y quien también llegó hoy a puerto como triunfador fue el Sled del armador Takashi Okura. El barco no estaba haciendo un buen papel en Cascáis, pero sus dos últimos días más sólidos, unido a los errores de Platoon y Bronenosec, le han dejado expedito el camino hacia la victoria en la especialidad de armador-caña y, además, subió al tercer lugar del podio de la temporada 2015 como primer ‘humano’, por detrás de Azzurra y Quantum.

La temporada de 52 SUPER SERIES llega a su fin. En mayo de 2016 vuelve con una nueva temporada con cinco regatas: Scarlino, Porto Cervo, Puerto Portals, Menorca y Cascáis.

Takashi Okura, armador del Sled, se mostraba entusiasmado con el tercer puesto final de la temporada y con el título de mejor armador-caña en su primera temporada completa en 52 SUPER SERIES: “¿Lo hemos ganado verdad? Ha estado todo muy ajustado. Es increíble que después de casi cincuenta regatas hayamos ganado el título por sólo tres puntos sobre el segundo. Y también hay que tener en cuenta que otros tres barcos han quedado a menos de diez puntos de nosotros después de los 259 que hemos conseguido. Estamos muy contentos y cansados porque esta ha sido una temporada muy dura, con más de treinta días de competición y con muchos entrenamientos. 52 SUPER SERIES es ahora mismo la mejor competición de monocascos, porque tenemos muchos barcos y todos tenemos más o menos el mismo potencial. Es una competición muy igualada. El año que viene seguro que estamos aquí de nuevo defendiendo el título”. Okura comparte su pasión por la vela con la de la montaña. El título de mejor armador-caña de la temporada de 52 SUPER SERIES se le ha resistido menos que el Everest: “Ya he ido tres veces a escalar el Everest, pero aún no he podido llegar a la cima. Las tres veces el mal tiempo me lo ha impedido. Volveré”.

Guillermo Parada, caña del Azzurra, explicaba: “La realidad es que no podemos soñar un final de temporada mejor que el de hoy. Ha sido increíble. Queríamos terminar con estas sensaciones y por eso salimos al agua con un solo génova para ahorrar algo de peso. Además, Vasco me ha dado mucho espacio y hemos hecho una salida increíble a cero segundos y a nueve nudos de velocidad. Eso nos ha permitido cruzar por delante del resto de la flota y ya desde ahí controlar la manga. Ha sido el final soñado. Pero ya desde mañana hay que pensar en 2016. Quantum va a empezar muy fuerte la temporada, eso es seguro, y no nos va a dar el margen que nos ha dado este año en el que ha despertado tarde. Tenemos que empezar a analizar ya mismo la próxima temporada y ver en qué podemos mejorar para trabajar en ello”.

Parada tenía un agradecimiento muy especial que hacer: “Queremos dar las gracias al Yacht Club Costa Smeralda por el apoyo que nos han dado, pero sobre todo queremos acordarnos ahora de Alberto Roemmers padre. Él fue el que hace 20 años nos dio la oportunidad a sus ‘pollos’ de salir a competir por el mundo. Este título es cosa de él y de su apoyo durante todos estos años. Alberto Roemmers ha sido la persona que ha cambiado el curso de la historia en la vela de nuestro país, Argentina, y estamos infinitamente agradecidos a él”.

Clasificación final de la Cascáis Cup
Quantum Racing, (Doug DeVos USA) (3,3,1,1,4,6,1,3,2,3) 27 puntos.
Azzurra, ITA (Pablo/Alberto Roemmers ARG) (5,2,2,2,1,1,5,10,6,1) 35 p.
Vesper (Jim Swartz USA) (1,6,4,3,10,8,6,2,1,5) 46 p.
Provezza, (Ergin Imre TUR) (9,4,3,9,2,4,4,1,8,6) 50 p.
Platoon, (Harm Müller-Spreer GER) (4,5,7,6,3,3,7,5,9,9) 58 p.
Alegre, GBR (Andres Soriano USA) (12,10,11,4,5,2,3,8,10,2) 67 p.
Sled, USA (Takashi Okura JPN) (7,8,9,5,11,7,9,6,5,4) 71 p.
Bronenosec, (Vladimir Liubomirov RUS) (6,9,6,10,7,9,8,7,4,8) 74 p.
Spookie, (Steve Benjamin USA) (2,1,8,8,13,13,12,4,11,7) 80 p.
Gladiator, (Tony Langley GBR) (8,7,12,12,9,5,2,12,12,11) 90 p.
Paprec, (Jean-Luc Petithuguenin FRA) (10,11,10,7,6,10,11,9,7,10) 91 p.
Xio/Hurakan, (Guiseppe Parodi ITA) (11,12,5,11,8,11,10,11,3,12) 94 p.


Clasificación final de la temporada 2015 de 52 SUPER SERIES
Azzurra 175 puntos.
Quantum Racing 202 p.
Sled 259 p.
Platoon 262 p.
Bronenosec 263 p.
Alegre 266 p.
Provezza 269 p.
Gladiator 386 p.
Paprec 396 p.
Ran Racing 397 p.
Xio 422 p.
Spookie 482 p.
Vesper 485 p.
Interlodge 505 p.
Phoenix 510 p.

domingo, 20 de septiembre de 2015

XIV Regata de Crucero Proyecto Hombre y Conferencia "Certificado de medición ORC” en el Real Club Náutico Pto. de Sta. María

XIV Regata de Crucero Proyecto Hombre


El día de 3 de octubre se celebrará organizado por el Real Club Náutico Pto. de Sta. María la XIV Regata de Crucero Proyecto Hombre a beneficio de la ONG Proyecto Hombre, que desde hace años vienen organizando, con el objetivo de recaudar fondos para ésta ONG.
Si están interesados en colaborar con dicha causa, les remitimos el número de cuenta donde podrán ingresar el donativo: ES23 0182 3146 45 0011495008


Conferencia "Certificado de medición ORC”
Así mismo, el el 2 de octubre a las 20:00h en los locales del Real Club Náutico Pto. de Sta. María,  endrá lugar una conferencia que versará sobre "Certificado de medición ORC” para embarcaciones, a cargo del Sr. Jorge Flethes.

Fuente: Real Club Náutico Pto. de Sta. María



Azzurra, campeón de 52 SUPER SERIES

El barco de la familia Roemmers se asegura el título de la temporada mientras que Quantum da un paso de gigante para ganar la Cascáis Cup que termina malana

Platoon, Sled, Bronenosec y Alegre lucharán por el tercer puesto en el podio final de la campaña


Azzurra se proclamó hoy campeón de la temporada 2015 de 52 SUPER SERIES. Y lo hizo en un día en el que no brilló (un quinto y un décimo) y en el que cedió el liderato de la Cascáis Cup al Quantum Racing de Ed Baird (un primero y un tercero). Pero el barco de la familia Roemmers era pura alegría. Había logrado el premio por el que llevan tres años peleando, por una victoria que les coloca, sin duda, como el mejor proyecto de monocasco del mundo.
Azzurra es el esfuerzo de una familia, la Roemmers, que ha sustentado y navegado con el barco a las duras y a las maduras, pero también es el esfuerzo de un equipo humano de 25 personas, desde el caña Guillermo Parada a los chicos del equipo de tierra que hacen una labor tan efectiva como desconocida, que han trabajado denodadamente para conseguir lo que hoy han consumado, el título 2015 de 52 SUPER SERIES.
Nadie duda de que el barco italoargentino ha sido el mejor de la temporada 2015. Han ganado mangas en las cinco pruebas disputadas, algo que ningún otro velero ha podido hacer, y han sido los más consistentes en todas las condiciones de regata.
Hoy pueden celebrar la victoria final, pero es seguro que mañana saldrán al agua para pelearle a Quantum Racing el triunfo en la Cascáis Cup, que sería ya el colofón soñado para su excelsa temporada. Azzurra sucede en lo más alto del cajón al equipo americano que se había hecho con los cetros de 2013 y 2014.
Pero mañana no lo van a tener nada sencillo para ganar en Cascáis. Hoy no ha sido su mejor día en el agua, aspecto que ha aprovechado Quantum para arrebatarles el liderato y para dar un paso importante de cara a conseguir la victoria en aguas del Atlántico. Quantum y Azzurra pelearon en la primera parte de la manga inicial del día hasta que llegaron a un cruce entre ellos. Azzurra no pudo aguantar su posición desfavorecida con el barco americano y tuvo que virar. Una virada que les hizo perder ya todas las opciones, ya no sólo de ganar la manga, sino de pelear por el segundo puesto.
Antes en la salida habían pecado de precipitados el Platoon y el Bronenosec, que tuvieron que volver a partir. Unos metros más adelante, Spookie vio como el trabajo de intentar recuperar su vela mayor, tras romperla el viernes, era estéril y tuvieron que retirarse porque el trapo volvió a romperse por el mismo sitio.
En esa primera manga la salida fue de Alegre que hizo un excelente primer tramo de ceñida. No así la popa, en la que perdió tres posiciones y en la que Quantum mostró su endiablada velocidad con el viento a favor. Se pusieron líderes y ya no dieron margen a los demás. El que les secundó fue el Gladiator de Tony Langley haciendo así su mejor resultado de la temporada. Por detrás, Alegre y Provezza que ascendía a la tercera plaza de la clasificación en Portugal. Azzurra hizo una quinta plaza y mantenía el liderato por un único punto.

Pero quedaba la segunda manga, también con unos 18 nudos de viento del 340. Y en esta el Spookie pudo participar gracias a la ayuda que le prestó Vesper en forma de vela mayor. Entre compatriotas se dejaron la vela y los de Steve Benjamin pudieron ser de la partida. Y no les fue nada mal porque en el primer paso por la boya de barlovento eran primeros, perseguidos por Provezza, Quantum y Vesper.

La popa fue de los turco. El barco de Ergin Imre es de los mejores con viento fuerte y hoy lo ha demostrado ganando la manga. Quantum vio como Vesper le pasaba y se sentía muy cómodo en la tercera plaza ya que Azzurra iba perdiendo opciones y terminó en una décima posición, muy extraña en ellos.

Tres frentes abiertos mañana

Para mañana hay tres frentes abiertos. El primero es la lucha por el triunfo en la Cascáis Cup. Quantum lleva una ventaja de seis puntos sobre el Azzurra. El segundo frente es el tercer puesto en esta competición y es el Provezza quien tiene una mayor ventaja, ya que atesora una ventaja de cuatro puntos sobre Platoon y Vesper. Para los turcos sería su segundo podio de la temporada, tras el tercer puesto conseguido en el Mundial de Puerto Portals; para Platoon el tercero tras los conseguidos en Portals y en la Copa del Rey, mientras que para Vesper sería un podio en su primera regata de la temporada.
Y la tercera incógnita que se resuelve hoy es el tercer lugar en el podio de la temporada que, además, será también el trofeo al mejor armador-caña de la temporada. Si hoy se dieran hasta dos salidas, algo improbable porque el parte de viento es poco halagüeño, hasta Alegre podría optar a ese puesto ya que se encuentra a diez puntos de Platoon de Harm Müller-Spreer. Y en medio está Sled de Takashi Okura a seis puntos del barco alemán y Bronenosec, de Vladimir Liubomirov, que se encuentra a siete.

Todo abierto para la última jornada que, de nuevo, será transmitida en directo a través de nuestra página web www.52superseries.com a partir de las dos de la tarde en horario español.

Alberto Roemmers, armador del Azzurra, explicaba: “Se ha cumplido el objetivo con el que veníamos a Cascáis, que era cerrar el campeonato como campeones. Ya lo tenemos y estamos muy contentos. Hoy no ha sido un buen día para nosotros y por eso podemos estar un poco menos contentos de lo que deberíamos. Hemos roto un spi y no hemos ido rápidos. Pero son cosas de las regatas. Ayer fuimos muy buenos y hoy no tanto. Seis puntos es una ventaja grande si tenemos en cuenta que se los tenemos que quitar al Quantum. Va a ser muy complicado ganarles aquí, pero que nadie dude de que vamos a salir a intentarlo”. El armador esperaba una cerveza al llegar a puerto para celebrar el triunfo de la temporada de 52 SUPER SERIES y comentó con sorna: “Puede que hayamos tenido el primer error de la temporada esta tarde. Yo esperaba una cerveza para celebrarlo y no la hemos tenido… Pero que nadie dude de que hoy vamos a celebrarlo y que mañana estaremos preparados para luchar por la victoria en Cascáis”.
Ergin Imre, armador del Provezza, sostenía: “Estamos muy contentos con la victoria en la segunda manga y con nuestro trabajo de hoy. Es evidente que nuestro barco va muy bien con vientos fuertes pero también creo que nuestros tripulantes, muchos nórdicos, se sienten más cómodos con este tipo de condiciones de viento y mar. Vamos a luchar por acabar terceros en Cascáis, aunque creo que el tercer puesto en la general de la competición ya es una cosa casi imposible. Quien nos hubiera dicho que esta temporada íbamos a poder hacer estos resultados le hubiera dicho que estaba un poco mal. Pero si hacemos podio aquí será el segundo de la temporada por lo que seremos muy muy felices”.

Clasificación de la Cascáis Cup
Quantum Racing, (Doug DeVos USA) (3,3,1,1,4,6,1,3) 22 p.
Azzurra, ITA (Pablo/Alberto Roemmers ARG) (5,2,2,2,1,1,5,10) 28 puntos.
Provezza, (Ergin Imre TUR) (9,4,3,9,2,4,4,1) 36 p.
Vesper (Jim Swartz USA) (1,6,4,3,10,8,6,2) 40 p.
Platoon, (Harm Müller-Spreer GER) (4,5,7,6,3,3,7,5) 40 p.
Alegre, GBR (Andres Soriano USA) (12,10,11,4,5,2,3,8) 55 p.
Spookie, (Steve Benjamin USA) (2,1,8,8,13,13,13,4) 62 p.
Sled, USA (Takashi Okura JPN) (7,8,9,5,11,7,9,6) 62 p.
Bronenosec, (Vladimir Liubomirov RUS) (6,9,6,10,7,9,8,7) 62 p.
Gladiator, (Tony Langley GBR) (8,7,12,12,9,5,2,12) 67p.
Paprec (Jean-Luc Petithuguenin FRA) (10,11,10,7,6,10,11,9) 74 p.
Xio/Hurakan, (Guiseppe Parodi ITA) (11,12,5,11,8,11,10,11) 79 p.


Clasificación provisional de 2015 de 52 SUPER SERIES
Azzurra 168 puntos.
Quantum Racing 197 p.
Platoon 244 p.
Sled 250 p.
Bronenosec 251 p.
Alegre 254 p.
Provezza 255 p.

Gran salida de los 71 navegantes de la Mini Transat Islas de Guadalupe

• 6 españoles en la salida de la Mini Transat Islas de Guadalupe 

• Nacho Postigo (Vamos Vamos) se queda en tierra 

• Los 71 participantes cruzarán el Atlántico en el barco más pequeño de regata oceánica, un total de 4021mn



A las 15h30, la flota de 71 patrones de la 20 edición de la Mini Transat Islas de Guadalupe ha tomado la salida en Douarnenez, a pocos metros del puerto de Rosmeur delante de un público entregado y entusiasmado ante una salida tan espectacular en un gran día soleado en la Bretaña francesa.
Los 71 minis han sido los protagonistas de la tarde del sábado en Douarnenez. Muchas personas reunidas tanto en el puerto de Rosmeur como en los pantalanes a la hora de la salida para admirar la salida de la famosa regata transatlántica. El público totalmente entregado ha seguido de cerca hasta el final a sus favoritos y con una tormenta de aplausos los patrones han cruzado la línea de salida. Un momento mágico para todo el mundo. A la señal dada por el presidente del comité de regata, los participantes se han lanzado con un viento de oeste a noroeste de entre 8 y 10 nudos.
Había viento suficiente para avanzar, pero tampoco demasiado. Las condiciones a la hora de la salida eran perfectas, un suave viento que metía en el juego a los 71 participantes de la famosa Mini Transat Islas de Guadalupe. Sin embargo, los patrones no han tenido mucho tiempo de admirar el paisaje, concentrados en sus adversarios, en evitar las colisiones y centrados ya en las mejores tácticas para abordar de la mejor manera el recorrido de la bahía de Douarnenez.
Después de la salida, el francés Hervé Aubry (Ixina Voilerie HSD) lideraba, seguido muy de cerca por el pequeño de la regata, el francés Quentin Vlamynck (Arkema) y Clément Bousyssou (Le Bon Agent ! Bougeons l’Immobilier), sin embargo, ha sido el favorito Davy Beaudart (Flexirub) quien se ha impuesto en la primera boya. En la clasificación de los series, ha sido el francés Julien Pulvé (Novintiss) quien se ha impuesto delante del francés Benoît Hantzperg (YCA – Dhumeaux – Secours Populaire).

La evasiva rebate los mapas
En la boya número dos, el francés Fred Denis se ha impuesto tras un astuto movimiento en dirección a la costa. El español Fidel Turienzo (Satanas) competía muy de cerca con el resto de la flota, pero fue Benoît Hantzperg quien tomó el primer puesto y Tanguy Le Turquais clasificaba su Térreal en la tercera posición. La jerarquía se establecía rápido cuando los barcos han pasado la boya de Tristán que marcaba el final del recorrido costero. Delante de todos ellos se dibuja ahora un largo recorrido que empezaba con una ceñida oeste después de haber pasado el Raz de Sein. El objetivo: evitar el anticiclón en la ruta directa y partir en búsqueda de un frente poco activo de vientos de noroeste.

Nacho Postigo espera en tierra
Para la mayoría de la flota, el recorrido costero de hoy era un avance de lo que les esperaba esta semana. Mañana, cuando la primera noche haya pasado, todos olvidarán las pequeñas miserias del recorrido de cinco millas que tan solo es el preludio de lo que el Atlántico les depara. Sin embargo, este no será el caso de Nacho Postigo cuya historia hoy ha sido muy diferente. A la salida del puerto de Tréboul, cuando estaba siendo remolcado por un barco de la organización, el mini Vamos Vamos de Nacho Postigo ha chocado duramente contra las piedras de la Isla Tristan lo que ha provocado una avería en el bulbo de la quilla. La situación ha impedido que Nacho Postigo tomará la salida esta tarde en Douarnenez. Sin embargo, Nacho Postigo podría reintegrar la flota y la clasificación en la segunda etapa, ya que la responsabilidad personal no ha sido comprometida en el accidente. Será el jurado internacional quien decida.

Clasificación después del recorrido costero

Prototipos (Clasificación Eurovia Cegelec)
1 Fred Denis – 800 – Nautipark
2 Davy Beaudart – 865 – Flexirub
3 Clément Bouyssou – 802 – Le Bon Agent ! Bougeons l’Immobilier
4 Luke Berry – 753 – Association Rêves
5 Jean-Baptiste Daramy – 814 – Chocolats Paries – Coriolis Composites

Series (Clasificación Ocean Bio-Actif)
1 Benoît Hantzperg – 871 – YCA – Dhumeaux – Secours Populaire
2 Tanguy Le Turquais – 835 – Terréal
3 Charly Fernbach – 869 – Le Fauffiffon Hénaff
4 Antonio Fontes – 745 – Vela Solidaria
5 Ian Lipinski – 866 –Entreprises Innovantes

Han dicho:

Nacho Postigo (Vamos Vamos): “He hecho una solicitud de reparación y estoy a la espera de la respuesta del jurado internacional. Espero poder estar en la salida de Lanzarote, mis planes son llevar el barco de vuelta a España, repararlo y preparar la salida de Lanzarote para poder cruzar el Atlántico en mi barco, que es por lo que estoy aquí”.

Jesús Jiménez, Helly Hansen Tarifa (Tarifa, España): "He elegido como canción de salida "Don't Stop me now" de Queen, porque es como me siento ahora mismo, ¡imparable! Estoy muy tranquilo y muy emocionado y el parte meteorológico para hoy es tan bueno que te da la impresión de que va a ser una Transat genial".

Fidel Turienzo, Satanás (Maliaño, España): "No llevo amuletos conmigo, el cariño y el apoyo de todas las personas que me han echado una mano, ayuda mucho pensar en ellos en situaciones duras. Mi objetivo principal es acabar la regata y disfrutarla al máximo. Estoy haciendo el proyecto que siempre quise y no hay más tiempo para pensar en el futuro".

Sobre la Mini Transat - Îles de Guadeloupe 2015
La Mini Transat - Îles de Guadeloupe 2015: En su 20 edición y por segunda vez consecutiva, la Mini Transat Îles de Guadeloupe vuelve a sus orígenes con una salida en Douarnenez (Francia). El puerto de Cornualles dará la salida a la flota de 72 ministas solitarios el 19 de septiembre hacia Lanzarote, donde los Mini 650 esperarán hasta el día 31 de octubre para atacar el Atlántico. Tras casi tres semanas de navegación, los regatistas cruzarán la línea de llegada de la Mini Transat - Islas de Guadalupe en Pointe-à-Pitre. En el barco de regata oceánica más pequeño del mundo, cada uno de los patrones utilizará su talento para cruzar las 2700 millas náuticas (4345 kilómetros) que les separan de las Antillas. En solitario, cada participante tendrá que encontrar sus propios recursos morales para vivir esta aventura única: una regata transatlántica en un espacio reducido y falto de comodidades donde su mayor reto será el cara a cara consigo mismos.

Fuente: Prensa Mini Transat - Îles de Guadeloupe 2015

El RCN Barcelona, de menos a más en la Rolex New York Yacht Club Invitational Cup

El equipo del Real Club Náutico de Barcelona ha firmado su mejor jornada el último día de la Rolex New York Yacht Club Invitational Cup, en que se ha marcado un sexto puesto en aguas de Newport. Aún así, los de Javier Scherk se han tenido que conformar con la última posición de esta prestigiosa regata reservada a tripulaciones no profesionales de los mejores clubes de todo el mundo, en la que en esta edición se han dado cita 17 clubes de 11 países de cuatro continentes.

©ROLEX/Daniel Forster

La Rolex New York Yacht Club Invitational Cup, que organiza el New York Yacht Club cada dos años desde 2009 en su sede de Newport (Rhode Island), se disputa en embarcaciones Swan 42, el octavo monotipo creado por este prestigioso club estadounidense desde 1990. Todas las unidades van equipadas con las mismas velas y llevan los mismos reglajes, por lo que la competición es realmente igualada.
El Real Club Náutico de Barcelona ha participado en las cuatro ediciones de la Invitational Cup, mientras que Javier Scherk ha sido su representante en las tres últimas. “A lo largo de estos seis años –ha valorado el patrón barcelonés-, la regata en términos organizativos ha sido cada vez un poco mejor, pero lo que ha sorprendido en esta edición ha sido el nivel de los participantes. Todos los han comentado, todos han mejorado muchísimo. Nosotros este año hemos entrenado, pero incluso en este caso hemos quedado en la misma posición o incluso un poco peor que en la anterior edición”.

El único equipo español en la batalla empezó la Invitational Cup pinchando el primer día (martes), con un problema en una maniobra que le hizo perder posiciones. A lo largo del campeonato –con un total de 12 pruebas- ha ido mejorando ligeramente, con parciales entre el 13 y el 15, y último día (ayer sábado) consiguió firmar su mejor parcial, un sexto puesto. La mejora no ha bastado para quedar más arriba en la tabla. De hecho, sólo tres puestos más arriba se ha clasificado el Yacht Club Italiano, que en su casillero cuenta con dos primeros, lo que dice bastante de la igualdad de los equipos.
“Lo que hace la diferencia es el detalle. Al final de cada regata hemos acabado todos muy juntos, entre el primero y el último ha habido sólo uno o dos minutos en una regata de hora y media”, ha dicho Scherk.
En la edición anterior, la de 2013 –es una regata bienal-, el equipo del RCNB se clasificó en décimo novena posición, en una tabla formada por 20 equipos.
Con sede en Harbour Court, el icónico edificio del club neoyorkino en Rhode Island, la Invitational Cup se ha disputado durante cinco días en aguas de Newport, el mítico escenario de la America’s Cup durante décadas. Las condiciones han sido en general de vientos medios, de entre 8 y 12 nudos, con un día de muy poco viento, con pruebas disputadas tanto en el Rhode Island Sound como en la Narragansett Bay.
El club más antiguo del mundo, el Royal Thames Yacht Club de Londres, se ha llevado la victoria de la cuarta edición de la Rolex New York Yacht Club Invitational Cup, seguido por el club organizador, el New York Yacht Club. En tercera posición se ha clasificado otro equipo estadounidense, el Eastern Yacht Club, dejando la cuarta plaza para el Middle Harbour Yacht Club australiano y la quinta para la Japan Sailing Federation.
Han formado la tripulación del Real Club Náutico de Barcelona: Javier Scherk, Javier Aguado, Oriol Cornudella, David Mas, Luis Mas, Javier Cornejo, Lorenzo Vázquez, Andrea Cornudella, Carlos Moreu, Mirco Raffaini y Federico José Hernández-Alfaro, además de Tim Fetsch como representante del propietario del barco alquilado.

Fuente: Prensa RCNB


Portofino Rolex Trophy. Última jornada y video-resumen de Panorama Vela

En la jornada de ayer, tercera y última, los tres barcos de competición nos brindaron una regata muy emocionante. Durante la primera manga el viento roló obligando al comité a cambiar el recorrido. El Hispania hizo una remontada llegando a dominar en algunos momentos, pero fue finalmente el Tuiga quien cruzó primero la línea de meta. Durante la segunda prueba los papeles se cambiaron, el Mariska se aventajó con bastante diferencia venciendo así esta segunda manga validada. La clasificación final da el oro al Tuiga, seguido del Mariska y el Hipania.


(Fotograma del video)


viernes, 18 de septiembre de 2015

Cascáis Cup. Azzurra vuela hacia la gloria

©Max Ranchi

El barco italiano gana las dos mangas con vientos de hasta 25 nudos y se pone líder con cinco puntos de ventaja sobre el Quantum en la Cascáis Cup

Bronenosec, Sled y Platoon, separados por sólo dos puntos en la lucha por el tercer puesto en el podio de la temporada de 52 SUPER SERIES


Azzurra voló hoy en Cascáis. El barco patroneado por Guillermo Parada ganó las dos mangas disputas de la Cascáis Cup y se coloca líder de la clasificación con cinco puntos de ventaja sobre el Quantum Racing, que sólo pudo hacer un cuarto y un sexto puesto. El otro barco favorecido de la jornada fue el Platoon de Harm Müller-Spreer que se consolida en la tercera plaza de la general y pelea por el podio de la temporada de 52 SUPER SERIES.
Azzurra tardará en olvidar su jornada de hoy. Ganaron, volaron y disfrutaron de Cascáis en su máxima expresión. 25 nudos de viento en la segunda manga y unas popas escalofriantes que les llevaron a surfear y a alcanzar velocidades superiores a los veinte nudos. Hoy era el día de las tripulaciones más avezadas y, sin duda, Azzurra demostró que es el equipo a batir y que actualmente es el proyecto más sólido de las 52 SUPER SERIES. Con sus triunfos de hoy ha conseguido también ser el único velero de la clase que va a ganar al menos una manga en las cinco regatas de la temporada 2015. Y esto habla de su regularidad y de su capacidad de adaptación a todo tipo de situaciones.
Y también Azzurra se ha colocado en disposición de celebrar ya mañana su triunfo final en la temporada de 52 SUPER SERIES. Tras la jornada de hoy acumula 40 puntos de ventaja sobre el Quantum Racing. Al haber doce barcos en competición le basta con quedar en la primera de las mangas de mañana tres posiciones por detrás del velero de Ed Baird para poder ya entonar el alirón definitivo de la temporada. Un título que, por lo visto toda la temporada, y por supuesto también hoy, se merecen indiscutiblemente.
Los dos triunfos de hoy permiten a los representantes del Yacht Club Costa Smeralda flexibilizar ya su plan de Cascáis: “Creo que con un séptimo en la primera manga ya nos vale. Creo que ya es el momento en el que podemos comenzar a pensar ya en luchar abiertamente por ganar la Cascáis Cup”, reconocía Guillermo Parada, caña y patrón del velero italoargentino. Su exhibición de hoy les permite navegar ya libremente en pos del que sería su tercera victoria parcial de la temporada tras alzar el trofeo en Porto Cervo y el Mundial de Puerto Portals.

©Max Ranchi

Quien hoy no pudo competir fue el Spookie de Steve Benjamin. El barco, que fuera líder de la Cascáis Cup al término de la primera jornada, rompió la mayor de su velero antes de comenzar la regata, mientras realizaba bordos de entrenamiento. Cambiaron la vela principal por la otra que tenían en la barca de asistencia, pero sabían que si la mayor para vientos fuertes no había aguantado, la otra tampoco iba a hacerlo. En cuanto la izaron la partieron también por la zona de arriba. Volvieron a puerto y se pusieron a coser como posesos para que mañana el barco pueda competir. Quien también tuvo problemas fue Sled que rompió el puño de la mayor y que le perjudicó seriamente en la primera manga en la que finalizó último.
Ese problema de Sled deja muy abierta la lucha por el tercer puesto del cajón y del título de mejor armador-caña de la temporada. Ahora mismo, y después de 42 regatas disputadas en la temporada, el Bronenosec de Vladimir Liubomirov lleva un punto de ventaja sobre Sled, el barco de Takashi Okura, y dos sobre Platoon, el velero alemán de Spreer. Entre estos tres barcos se van a jugar en las cuatro mangas que restan por disputarse el único puesto vacante que queda en el podio de la temporada y el título de mejor caña no profesional de la temporada.

David Vera, piano de Azzurra, comenta: “Hoy era el día de los grandes tripulaciones sí, pero tenemos que añadir que con este tipo de condiciones nuestro barco va muy rápido y que hemos hecho dos grandes salidas. Estas tres cosas son la clave de las dos victorias de hoy; bueno también Vascotto hoy ha estado fino-fino en la táctica y lo ha clavado. Para navegar con este viento el equipo tiene que estar muy atinado con las maniobras porque si te equivocas lo puedes pagar muy caro. Y tampoco te puedes olvidar de valorar el trabajo del equipo de tierra que tiene el barco en perfectas condiciones. Hoy lo hemos exprimido al máximo y está perfecto. Tras los dos triunfos de hoy creo que ya nos podemos plantear pelear por la victoria en la Cascáis Cup”.
Joan Fullana, proa del Provezza, sostiene: “Con ‘rasca’nuestro barco va muy bien. Llevamos todo el año haciendo buenos resultados cuando hay bastante viento y estamos contentos con el trabajo. La lástima ha sido que Azzurra nos haya pasado en la puerta de sotavento en la segunda manga, porque nos hubiera gustado mucho poder ganar esa manga. Luego también hemos perdido dos posiciones en la última popa con Alegre y Platoon por un error nuestro. Con 25 nudos disfrutas mucho, no tienes miedo. La sensación es increíble”.

©Max Ranchi

Mañana se disputan dos nuevas mangas de barlovento-sotavento en la Cascáis Cup que podrán seguirse en la retransmisión en directo de la prueba que se emite en nuestra página web www.52superseries.com. La regata está previsto que comience a las dos de la tarde en horario español.


Fuente: TP52 Class

Portofino Rolex Trophy. Viernes

Durante la segunda jornada del Portofino Rolex Trophy un bonito duelo entre el Tuiga y el Mariska han marcado las dos mangas validadas, con victoria final para el Tuiga. El The Lady Anne ha sufrido un infortunio, pues se le ha roto el mastilete, mientras que al Hispania se le ha roto la escandalosa.


(Fotograma del Video)

jueves, 17 de septiembre de 2015

El presidente de la RFEV convoca Asamblea para ver la moción de censura


El presidente de la Real Federación Española de Vela (RFEV), José Angel Rodríguez, ha tomado la decisión de convocar una Asamblea General Extraordinaria con motivo de la moción de censura pre- sentada contra él, en función de la resolución del TAD, instada por Julia Casanueva, presidenta de la Federación Cántabra de Vela que se postula como candidata a presidir la Española. La asamblea extra- ordinaria se ha fijado para el día 6 de octubre próximo, en la sede de la propia federación.
No obstante, el Comité Ejecutivo de la RFEV, tras el estudio de la resolución del TAD, ha decidido recu- rrir dicha sentencia ante el Tribunal de lo Contencioso Administrativo, en interés de la ley y para que sus postulados no creen jurisprudencia en futuros casos que se presenten ante este tribunal deportivo.
En aras a poder afrontar problemas más importantes que afectan al buen funcionamiento de la RFEV y para evitar una paralización de la actividad deportiva que afectaría a los tres mundiales que se cele- brarán el próximo trimestre y que son clasificatorios para los Juegos Olímpicos de Río, el presidente hace la convocatoria de la moción de censura aún a sabiendas de que legalmente podría esperar al fa- llo del Contencioso Administrativo, anteponiendo así los interés generales de la Vela a los de sus legales representantes.

Fuente: Prensa RFEV

Portofino Rolex Trophy. Primera jornada.

Vídeo resumen de la primera jornada de la tercera fase del circuito 15 Metros Internacional en Portofino. Una jornada marcada por los picos de viento de hasta 20 nudos y olas de hasta 1 metro. El Mariska, ganador de la anterior fase, ha quedado primero seguido del Hispania.



lunes, 14 de septiembre de 2015

Salón Náutico de Barcelona, del 14 al 18 de octubre.

Del 14 al 18 de Octubre en Port Vell se celebrará el Salón Náutico de Barcelona, una cita relevante a nivel internacional donde conocer las novedades del sector.


(Archivo)

El RCN Barcelona participa en la Rolex New York Yacht Club Invitational Cup

El equipo de Javier Scherk aspira a quedar entre los diez primeros de esta prestigiosa regata que se disputa en Newport


Rolex / Daniel Forster
Un equipo del Real Club Náutico de Barcelona, liderado por Javier Scherk, participa esta semana en aguas de Newport (Rhode Island, Estados Unidos) en la Rolex New York Yacht Club Invitational Cup, una de las regatas más importantes del mundo para tripulaciones amateurs en el deporte de la vela.
Es la tercera vez que Scherk toma parte en esta prestigiosa competición organizada por el New York Yacht Club y reservada a los mejores clubes de todo el mundo. El equipo del RCN Barcelona –inscrito en la regata en sus cuatro ediciones- lo forman otros diez tripulantes, entre ellos reputados regatistas como Javier Aguado, que se encarga de dirigir las maniobras, y Oriol Cornudella, a cargo de la táctica.
Un total de 17 equipos de 11 países de cuatro continentes han acudido a la llamada de la cuarta edición de la Invitational Cup: Royal Yacht Squadron (GBR), Japan Sailing Federation (JPN), Real Club Náutico de Barcelona (ESP), Royal Cork Yacht Club (IRL), Royal Hong Kong Yacht Club (HKG), Royal Thames Yacht Club (GBR), Yacht Club Argentino (ARG), Yacht Club Italiano (ITA), Royal Prince Alfred Yacht Club (AUS), Royal Swedish Yacht Club (SWE), Eastern Yacht Club (USA), Itchenor Sailing Club (GBR), Middle Harbour Yacht Club (USA), Newport Harbour Yacht Club (USA), Seattle Yacht Club (USA) and New York Yacht Club (USA) y Royal Canadian Yacht Club (CAN), vencedor de las dos últimas ediciones bajo los mandos del medallista olímpico Terry McLaughlin.
La tripulación barcelonesa ha participado este fin de semana en Newport en sesiones de entrenamientos a bordo del Swan 42 que ha alquilado para disputar la regata. La Rolex New York Yacht Club Invitational Cup se corre a bordo de estos barcos del astillero finlandés Nautor’s Swan, todos con las mismas velas y el mismo equipamiento. La competición es por tanto en tiempo real y muy igualada, ya que todas las unidades tienen velocidades similares.
Javier Sherk lleva 40 años navegando en gran variedad de embarcaciones, casi siempre con la misma tripulación que formó su padre, la misma tripulación seleccionada para esta regata. Para este exitoso empresario y emprendedor en el sector de la distribución, “representar al RCNB en la Invitational Cup es todo un orgullo y un honor, porque es la mejor regata para equipos Corinthian (amateurs) de todo el mundo, lo es en todos los sentidos y sobre todo por la sede y el campo de regatas, Newport, que es la catedral de la vela”.
En la edición anterior, la de 2013 –es una regata bienal-, el equipo del RCNB se clasificó en décimo novena posición. Tras haber ganado algo de experiencia a bordo de los Swan 42 a través de su participación en otras regatas, Sherk y los suyos aspiran a colocarse en mitad de la tabla, entre los diez primeros. “El nivel es altísimo, son equipos amateurs pero seguramente hay más medallas olímpicas allí que barcos”, asegura el patrón.
Las pruebas oficiales de la Rolex New York Invitational Cup se desarrollan desde mañana, martes 15 de septiembre, hasta el sábado, día 19. La primera salida está programada cada día a las 11.00 horas (hora local de Newport, seis horas más en España).

Fuente: Prensa RCNB

Mónaco Classic Week. Vídeo resumen 2ª fase del circuito 15M Internacional

Vídeo resumen de la segunda fase del circuito 15 Metros Internacional enmarcado en la Mónaco Classic Week. Hubo regatas, celebraciones y diferentes eventos que amenizaron una semana muy completa. La clasificación final le otorgó el oro al Mariska, patroneado por Benjamin Redreau, siendo el The Lady Anne el segundo del ránking. El Túiga, por su parte, se quedó con el bronce seguido del Hispania que no pudo esta vez, optar al pódium.



Fuente: Panorama Vela

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