jueves, 31 de julio de 2014

Copa del Rey de Vela. El Factorenergia, de José María van der Ploeg vuelve a la competición

El Factorenergia, de José María van der Ploeg, iza de nuevo velas en la Copa del Rey 

El velero J80, que se hizo con la medalla de bronce en el Campeonato de Europa celebrado el pasado mes de julio, luchará por la victoria en la competición que tendrá lugar del 2 al 9 de agosto 



El J80 Factorenergia, capitaneado por el armador y patrón José Maria van der Ploeg, vuelve a izar velas para participar en la 33a Copa del Rey Mapfre, que se disputará del 2 al 9 de agosto en Palma de Mallorca. El velero intentará revalidar el título que ya consiguió en el año 2011.
Factorenergia, la compañía eléctrica independiente dirigida a empresas y ahora también a particulares, ha vuelto a confiar en esta embarcación de alta competición de vela como patrocinador oficial como “respuesta al apoyo constante de nuestra compañía a las energías renovables tanto desde el ámbito de la generación como de la comercialización”, ha apuntado su director general, Emilio Rousaud. “Este año 2014 pasará a la historia de la compañía por hacer realidad nuestro objetivo fundacional de convertirnos en una eléctrica integral, al entrar en el mercado doméstico, y esperamos también poder celebrar una gran victoria del J80 Factorenergia en la Copa del Rey”, ha señalado Rousaud.


Por su parte, el armador y patrón José María van der Ploeg ha expresado “su más sincero agradecimiento a Factorenergía por confiar de nuevo en nuestro velero, movido con energía eólica. Juntos, uniremos esfuerzos para alzarnos con la Copa del Rey y mejorar nuestro palmarés”. El J80 Factorenergia ha sido campeón del mundo en 2012 y se hizo con la medalla de bronce en los pasados campeonatos de Europa celebrados el mes de julio por aguas catalanas.
Factorenergia, que el pasado mes de mayo dio el salto al mercado eléctrico doméstico con el lema ¡Por fin hay otra luz!, es una eléctrica de nueva generación, moderna e innovadora, y constituye una alternativa sólida a la tradicional oferta del sector. La compañía, que garantiza al consumidor doméstico ahorro, calidad y transparencia, tiene previsto alcanzar el millón de clientes particulares en tres años.


Sobre Factorenergia
Factorenergia es una compañía eléctrica independiente integral que tiene como misión ofrecer un servicio de calidad y precios altamente competitivos a sus clientes, y como compromiso, defender los intereses de los consumidores frente a las grandes eléctricas. Fundada en 1999 y dirigida por Emilio Rousaud, fue la primera empresa eléctrica autorizada por el Ministerio de Industria al iniciarse el proceso de liberalización del mercado eléctrico. La compañía, propiedad del fondo JZ Internacional, subsidiario de The Jordan Group, y de Emilio Rousaud, ofrece además servicios de representación al mercado a productores de energías renovables y asesoramiento en temas de eficiencia y ahorro energético. 

Fuente: Prensa Factorenergia – Copa del Rey

miércoles, 30 de julio de 2014

Tour de France à la Voile 2014: "Courrier Dunkerque 3" gana por 3ª vez la ronda francesa.



Daniel Souben et son équipage remportent le 37è Tour de France à la Voile haut la main devant Groupama 34. C’est la troisième fois que Courrier Dunkerque monte sur la 1ère marche du podium après deux victoires consécutives en 2008 et 2009. Mais cela faisait cinq ans que ce n’était pas arrivé! 
La clé de leur réussite? Leur constance, aussi bien sur les parcours techniques que sur les étapes de ralliement.


Sur les parcours techniques, Courrier Dunkerque 3 et Groupama 34 se sont rendus coup pour coup. Chaque point était âprement disputé dans un duel proche du match racing. Les deux concurrents ont offert des moments de voile exceptionnels, comme à Bréhat où les deux bateaux se sont lancés dans une valse infernale de virements de bords dans le courant et entre les cailloux.
Performant sur les parcours techniques, Groupama 34 est passé à côté de deux étapes de ralliements à gros coefficient. Ces deux contre-performances liées à des mauvais choix tactiques ont coûté cher à l’équipage de Franck Cammas. Cette année, la moindre erreur avait souvent de lourdes conséquences sur le classement général. Grâce à la monotypie des voiles, le jeu était extrêmement serré. Plus régulier que Groupama 34, Courrier Dunkerque 3 a gagné par sa régularité et sa rigueur. Son adversaire, qui a remporté l’édition 2013, était pourtant coriace. Sur la partie Manche, le bateau vert a été skippé par Fabien Henry, douze fois skipper ou chef de projet sur le Tour de France à la Voile avec cinq victoires à la clé, dont une sur Groupama 34 l’année dernière. Franck Cammas, vainqueur de la Volvo Ocean Race en 2012 et élu marin de l’année a pris le relais en Méditerranée. Mais les deux skippers de Groupama 34 et ses redoutables équipiers n’ont pas réussi à déstabiliser l’équipage de Daniel Souben qui a su rester solide malgré la pression et prendre les courses une à une pendant trois semaines. Les Dunkerquois sont restés concentrés jusqu’au bout et n’ont commencé à exprimer leur joie qu’hier, après leur 1ère place à l’issue de l’étape de ralliement Hyères - Nice. Avec 17 points d’avance à la veille de la dernière journée de course, les jeux étaient faits comme le constatait un Franck Cammas déçu.

C’était loin d’être le cas pour la 3ème place. Parti troisième ce matin avec trois points d’avance, Bretagne - Crédit Mutuel Elite est revenu au port 4ème. Le coup est extrêmement dur pour l’équipage de Nicolas Troussel qui avait visiblement du mal à accuser le coup à son retour à terre. Team Oman Sail, en baisse de régime depuis la Méditerranée, se ressaisit le dernier jour et fait chuter les Bretons. C’est le premier podium pour Team Oman Sail sur le Tour de France à la Voile. Sidney Gavignet, skipper, était très ému à l’arrivée. Il a tenu à saluer les énormes progrès techniques des équipiers Omanais qui ont été deux fois en majorité à bord cette année. Mais la technique ne fait pas tout. Si l’objectif de podium a été atteint, c’est aussi parce que l’équipage était particulièrement soudé et prenait du plaisir à naviguer ensemble.

L’équipage amateur de Normandy - Acerel peut également être fier de sa performance ce soir, à Nice. Vainqueurs au classement amateur, les Normands terminent à la 5ème place au général devant le jeune équipage professionnel de Ville de Genève - Carrefour Addictions. Si les Suisses, après des débuts prometteurs, ont manqué de réussite en Méditerranée, les Normands ont fait quant à eux des étincelles sur la deuxième partie de la course. Baptiste Choquenet a fait efficacement le lien entre l’équipage qui a couru en Manche et les nouvelles recrues arrivées à Roses, en Espagne. Non seulement la nouvelle équipe maintient sa première place au classement amateur acquise en Manche mais elle parvient même à monter d’une place au général. Visiblement, la mayonnaise a bien pris entre le match racer Cédric Château, le figariste Alexis Loison et les autres jeunes équipiers en formation. 


Si l’équipage de Nantes-Saint Nazaire a mis les bouchées doubles en Méditerranée avec de très belles percées en tête de la flotte, le coup de collier n’était pas suffisant pour revenir au contact de Normandy-Acerel. Les Nantais terminent 7èmes au général et 2èmes au classement amateur devant Toulon Provence Méditerranée - COYCH. Les Sudistes, qui commençaient à prendre leurs marques en Manche, ont totalement perdu pied en arrivant en Méditerranée. Le renouvellement d’une grande partie de l’équipage a été trop dur à gérer. Le M34 Be. Brussels - Bienne Voile, qui termine 9ème, a lui aussi vu une partie de son équipage se renouveler dans le Sud. Très souvent abonnés à la dernière place, les équipiers belges et suisses ne garderont que des bons souvenirs de ce Tour de France à la Voile. Ils ont gagné en expérience et espèrent pouvoir de nouveau naviguer ensemble. Ils méritent aussi sûrement la palme de la bonne humeur à bord et de la persévérance.



Fuente: www.tourvoile.fr

Diam 24 un trimarán one-design de 7,25m. para la Vuelta a Francia a Vela 2015

El "Diam 24" será el nuevo barco de la Vuelta a Francia a Vela


La révolution multicoque
Après l’Ecume de Mer (1978), le First 30 (de 1979 à 1981), le Rush Royale(1982 et 1983), le Sélection 37 (de 1984 à 1991), le JOD 35 (de 1992 à 1998), le Farr 30 (de 1999 à 2010) et le M34 (de 2011 à 2014), c’est le Diam 24 qui sera dès l’été prochain le support du Tour de France à la Voile. Dans la droite ligne des bateaux précédents, le Diam 24 est un monotype. C’est une vraie révolution qu’a choisi d’opérer A.S.O puisque le Diam 24 est un trimaran de 7.25 mètres. Dessiné par le cabinet VPLP et construit à Port La Forêt par Vianney Ancelin, ce sport boat a déjà séduit de nombreux grands marins français depuis son lancement officiel, lors du dernier Salon Nautique de Paris. Un circuit a même été lancé cette année avec différents rendez-vous dont le Grand Prix Guyader, le Grand Prix de l’Ecole Navale, le Raid Emeraude de Saint Lunaire. François Gabart, Vincent Riou, Bernard Stamm, Lionel Lemonchois, Bruno Jourdren ont fait partie des premiers séduits par ce multicoque.

Un budget maitrisé pour un accès facilité à l’épreuve
Le Tour de France à la Voile a besoin d’un nouveau souffle. A.S.O a mené pendant plusieurs mois une large consultation auprès d’acteurs du milieu voile (skippers, équipiers, managers de projets, institutions, partenaires) avec comme priorité de respecter trois impératifs. D’abord, la volonté de proposer un bateau qui permette de revoir considérablement le budget de participation à la baisse. Ensuite, d’utiliser comme support du Tour de France à la Voile un bateau déjà commercialisé même si récent. Enfin, d’aller vers un monotype rattaché à un circuit, c’est-à-dire un bateau ayant une existence en dehors du Tour de France à la Voile. « Nous avons souhaité partir d’une feuille totalement blanche pour nous laisser un maximum d’opportunités, en ne nous interdisant rien. Le budget de participation à l’épreuve est rapidement apparu comme un point central, tout comme les aspirations de nombreux coureurs à évoluer sur du multicoque, offrant plus de vitesse et de spectacle. Le Diam 24, qui coûte aux environs de 55 000 euros TTC prêt à naviguer, soit trois fois moins cher que le M34, répond entièrement à cette double problématique. Il présente un positionnement budgétaire idéal, permettant de rassembler un large panel d’équipages, des amateurs à de grands noms de la Voile. Ces derniers ont ainsi l’opportunité de naviguer sur un projet complémentaire à leurs objectifs principaux, sur un événement qu’ils apprécient, et qui offre à leurs partenaires de belles possibilités d’activations multi-locales tant sur le Village qu’en terme d’hospitalités VIP, le Tour de France à la Voile présentant par essence un large maillage du territoire via son format de Tournée d’été ». a annoncé Jean-Baptiste Durier ce matin à Nice.


A la rencontre du public
Le Diam 24, support fun, rapide et spectaculaire, permettra aussi de s’assurer plus de proximité avec le public. Et c’est l’une des lignes directrices de l’action d’A.S.O depuis que le groupe a racheté le Tour de France à la Voile en 2012. L’arrivée du multicoque nécessite de repenser notamment le volet sportif : les parcours techniques alterneront avec de grands runs de plusieurs dizaines de milles. L’occasion de renforcer la dimension « spectacle » du Tour de France à la Voile. La volonté reste de construire un parcours autour de points iconiques du littoral français comme l’ont été cette année Le Château du Taureau à Roscoff ou l’île de Porquerolles pour l’étape de Hyères. « Nous alternerons deux types de régates dans les villes-étape. Des parcours côtiers, en Jour 1, que nous pourrons adapter en fonction des conditions, et qui permettront de continuer à mettre en valeur les merveilles de notre littoral, et des régates techniques beaucoup plus courtes en Jour 2, qui s’enchaineront au sein d’un stade nautique. Nous avons non seulement la volonté de rapprocher le spectacle de la terre et du public mais aussi de créer l’animation qui permettra à ce public de comprendre ce qui se joue sur l’eau avec un environnement sonore et visuel très travaillé. Le multicoque plait car il peut être extrêmement spectaculaire. C’est aussi ce qui a guidé notre choix » complète le directeur du Tour de France à la Voile. Le Diam 24 sera mené par 3 à 4 équipiers et pourra être sorti de l’eau et démonté en une heure seulement. Une logistique adaptée à l’itinérance du Tour.

Des grands noms et des amateurs, l’ADN du Tour de France à la Voile
Les équipages du Tour de France à la Voile ont reçu de manière enthousiaste l’arrivée du Diam 24. Ils savent que dans la continuité du large redéploiement opéré sur le pilier « vie à terre » depuis deux ans (forte densification du Village Animations, création d’une caravane publicitaire et d’un pôle d’animations sur les plages), c’est l’occasion de relancer la dynamique sportive d’un événement auquel ils sont particulièrement attachés. Des personnalités de la voile qui n’ont pas participé à l’épreuve depuis de nombreuses années pourraient entrevoir leur retour le long du littoral français à l’image de Michel Desjoyeaux, François Gabart, Armel Le Cleac’h ou Vincent Riou qui a tout remporté cette année sur le circuit Diam 24. « L’avenir de la voile de manière globale, c’est le multicoque. J’en suis intimement convaincu » explique enthousiaste François Gabart. De son côté, Michel Desjoyeaux imagine très bien à quoi ressemblera le Tour version 2015 : « L'objectif, c'est d'avoir plus de bateaux et plus de marins ! Le Diam 24 répond aussi à une souplesse nécessaire dans une épreuve itinérante le long de nos côtes françaises, en tenant compte des impératifs de timing d'animations aux escales ! ».
De leurs côtés, les amateurs regardent d’un œil très intéressé la série qui devrait connaître un fort développement cette année. Paul Adam, Président de la Ligue Haute Normandie à l’origine du projet M34 Normandy-Acerel, vainqueur cette année chez les amateurs, soutient l’évolution du Tour : « Le Tour de France à la Voile avait besoin d’un coup de jeune. On va vers une voile plus attractive qui devient un spectacle pour le grand public. On abaisse les conditions financières donc cela va favoriser le retour de petites équipes. »
Ce changement de support implique une approche différente de l’épreuve tant sur la construction du parcours que sur l’organisation générale. A.S.O va s’atteler dès à présent à construire ce que sera le Tour de France à la Voile 2015. « C’est un projet raisonné et raisonnable » résume Jean Le Cam.
Dès le Nautic, le parcours sera dévoilé. Le rendez-vous de Paris sera aussi l’occasion de révéler une partie des engagés car l’enjeu est bel et bien de pouvoir proposer un plateau densifié, rassemblant différentes « familles » de la Voile avec une flotte composée de coureurs issus d’horizons très divers, de noms médiatiques à des experts de l’olympisme, d’équipiers professionnels à des amateurs éclairés. Le Tour de France à la Voile est en marche vers son avenir sur trois coques !

Les mots de:
Michel Desjoyeaux skipper :
« Le Tour est une référence dans la voile française en équipage, qui a permis à beaucoup de jeunes d'évoluer vers le haut niveau, puis de faire carrière. Le multicoque fait très clairement partie de la culture nautique et technologique française, qui se développe enfin à l'international ! C'est une très bonne chose de marier les deux pour relancer la dynamique de ce grand événement. L'objectif, c'est d'avoir plus de bateaux et plus de marins ! Le Diam 24 répond aussi à une souplesse nécessaire dans une épreuve itinérante le long de nos côtes françaises, en tenant compte des impératifs de timing d'animations aux escales ! »

Vincent Riou, skipper du monocoque 60’ PRB :
« Le Diam 24 est un support vraiment fun, sportif, léger qui dépote ! Il y va y avoir du spectacle. Je voulais trouver un autre support en plus de mon 60’. C’est un projet facile à mettre en œuvre avec le Diam 24. La série ne fait que démarrer mais elle attire déjà du beau monde. Et puis le Tour de France à la Voile est une sorte d’institution. Je pense que le Diam 24 peut donner une nouvelle dynamique à l’épreuve. C’est un très beau projet que de faire le Tour en multicoque. C’est une idée qui m’enthousiasme beaucoup ! »

Daniel Souben, skipper de Courrier Dunkerque 3, vainqueur du Tour de France à la Voile :
« Nous sommes dans une période où le Tour rencontre quelques difficultés malgré la qualité du plateau et l’excellent retour médias. Nous manquons d’équipes. Il ne faut pas refuser d’évoluer. La solution retenue devrait permettre à beaucoup d’équipes de venir et va favoriser le mélange professionnels et amateurs. Ce sera un tour différent car nous perdons les offshores. Mais cela va aussi amener des compétiteurs nouveaux et notamment une jeune génération et des personnes issues du multicoque. L’arrivée du Diam 24 est bénéfique tant du point de vue de la communication que d’un point de vue budgétaire. Je n’y vois que du positif. Il faut que tout le monde s’y retrouve. Ce qui est proposé vaut le coup d’être tenté. »

François Gabart, skipper de Macif :
« J’ai fait mon premier tour en 2002 ou 2003 à l’époque où je faisais aussi du Tornado. Le Tour, cela a été pour moi la découverte du large, les régates de nuit, la navigation dans les courants, les passages dans les raz. Mais je trouvais que l’on se trainait un peu sur nos monocoques. Je m’étais dit à l’époque que ce serait top de faire ça avec des petits multicoques ! Donc je pense que l’évolution du Tour de France à la Voile est très très positive. L’avenir de la voile de manière globale, c’est le multicoque. J’en suis intimement convaincu. J’ai acheté un Diam 24 bien avant de savoir qu’il allait devenir le nouveau bateau du Tour. C’est un excellent bateau, très accessible non seulement budgétairement mais aussi en termes de maniement. C’est un bateau sur lequel beaucoup de personnes pourront prendre du plaisir. Cela va rendre le tour plus populaire non seulement en termes de public mais aussi au niveau des participants. Le mélange, c’est la force du Tour ! »

Philippe Presti, double vainqueur de la Coupe de l’America avec Team Oracle (coach cellule arrière) :
« Cela devenait un peu pénible de voir le Tour de France à la Voile avec si peu d’engouement. Pour moi, le Tour a été fabuleux. Je venais du Finn et découvrais la régate en équipage, les navigations de nuit. C’est dommage d’avoir perdu les amateurs, les étudiants… Donc c’est une super idée de faire le Tour en multicoque. Cela devrait relancer la machine. On surfe sur la vague multi, c’est une bonne évolution. Le bateau est facile, safe et accessible. Il correspond au cahier des charges que s’étaient fixés les organisateurs. Cela devrait permettre d’amener une autre population sur le Tour. Au-delà du haut niveau, l’objet du tour est de créer la dynamique pour amener des gens vers le bateau à voile. Je suis sûr que tout le monde s’adaptera au support et prendra du plaisir ».

Billy Besson, membre de l’Equipe de France de Voile Olympique en Nacra 17 :
« L’arrivée du Diam 24 sur le Tour de France à la Voile est intéressante. Je connais l’épreuve pour y avoir participé en Farr 30 il y a quelques années. Ce changement est énorme mais très positif. Le multicoque grandit partout en France et à l’international. Il n’y a qu’à regarder la Coupe de l’America. Donc c’est une évolution qui suit l’ère actuelle. Je pense aussi qu’ajouter du spectacle sur le Tour de France à la Voile est une bonne chose. Avant, nous partions au large et le public nous voyait juste à l’arrivée dans les ports. Là, cela va permettre de mettre les parcours tout près des côtes. Tout le monde va pouvoir en profiter et se passionner pour ces régates. Le Nacra 17, est mixte obligatoirement ; si le Diam 24 peut ouvrir des portes aux filles, c’est très bien. C’est quelque chose à approfondir. Je vais le proposer à Marie (Riou, sa coéquipière en Nacra 17, ndlr), c’est une bonne idée ! »

Jean Pierre Champion, Président de la Fédération Française de Voile :
« C’est plus qu’un changement de support, c’est un changement de format. Je comprends les choix d’A.S.O. C’est une bonne formule pour la promotion de la voile en compétition. Ce sont des régates qui vont parler au public et qui sont facilement explicables. La formule actuelle du Tour de France à la Voile relève de la course au large. C’est une épreuve majeure de la voile française et ça va le rester évidemment. Nous avons une filière de formation des jeunes qui passait par le Tour de France à la Voile. On voit tous les bénéfices de cette filière notamment sur la Volvo Ocean Race sur laquelle naviguent régulièrement des skippers et des équipiers français. Nous allons réfléchir et travailler pour trouver des épreuves pour suppléer le Tour de France à la voile sous son ancienne formule. Quant au Diam 24, c’est dans l’air du temps. C’est un bateau excitant qui va plaire à beaucoup de compétiteurs. Le bateau n’est pas défini en termes de jauge. Il va falloir cadrer les choix si on ne veut pas avoir d’évolutions non-contrôlées, puisque le choix de ce support répond aussi à une volonté de maîtriser les coûts. »

Eric Hainneville, Président de la Classe Diam 24 :
« En tant que président de la classe, l’arrivée du Diam 24 comme support du Tour de France à la ffVoile génère du stress. Car la barre est mise très haute dès le début. Nous avons une volonté de ne pas décevoir, d’être à la hauteur. En tant que navigant, c’est un super projet. Je trouve que c’est une reconnaissance du multicoque comme un vrai support de navigation. Le multi demande de vraies qualités de navigation. La Coupe de l’America nous a bien aidés pour cette reconnaissance. Avec Vianney Ancelin, nous voulions un bateau à sensations, avec un prix raisonnable, simple et accessible à tous. Nous ne voulons pas courir après la surenchère. Et c’est un vrai challenge. Le bateau va permettre de faire venir d’autres profils de navigants aux côtés des pros. Cela va donner une autre dimension au Tour de France à la Voile. Je trouve que c’est un défi génial. Il y a une confiance mutuelle entre nous les coureurs, la classe et l’organisateur. »

Fuente: www.tourvoile.fr

El castreño Pablo Díaz Munio, médico de la VOR

Un médico todo terreno para la Volvo Ocean Race 

El cántabro Pablo Díaz Munio ha sido nombrado médico oficial de la Volvo Ocean Race 2014-15, regata que ya conoce como colaborador de Ericsson (2008-2009) y responsable médico de Telefónica (2011-2012). Ha participado así mismo en tres campañas al Himalaya de Edurne Pasaban: Annapurna, Shisha Pangma y Everest.

©María Muiña

El cirujano y especialista en medicina subacuática e hiperbárica Pablo Díaz Munio (Castro Urdiales, Cantabria, 1967) será elmédico oficial de la Volvo Ocean Race 2014-15. Ésta es la tercera edición en la que Díaz Munio participa en la vuelta al mundo a vela, si bien con anterioridad lo hizo como médico colaborador del Ericsson (2008-2009), y como médico oficial del Telefónica (2011-2012).
En su nueva posición, el cántabro velará por la salud tanto de trabajadores como regatistas de la Volvo Ocean Race, lo que le exigirá pasar entre una semana y diez días en cada puerto, y estar disponible 24 horas al día durante las etapas, a lo largo de nueve meses. “Nuestro trabajo es enseñar a prevenir. En un evento tan extremo como éste hay problemas menores que se convierten en mayores, y problemas mayores que se convierten en emergencias”, señala. “Una rotura de fémur abierta se puede controlar perfectamente en tierra, pero en alta mar, en un lugar donde no llega el helicóptero, o tarda horas en hacerlo, puede convertirse en algo serio”, añade. Por esta razón, Díaz Munio se encargará también de formar a los equipos en primeros auxilios, y a uno de sus miembros en el papel de paramédico.
Díaz Munio es uno de los profesionales más especializados de España, que cuenta también con experiencia en alta montaña. Ha participado en tres expediciones de Edurne Pasaban, Annapurna, Shisha Pangma y Everest, y su trabajo durante las mismas fue alabado por la alpinista vasca. “El himalayismo y la vuelta al mundo a vela son dos caras de la misma moneda”, explica preguntado por la relación entre ambos deportes. “Aunque a nivel fisiológico son completamente diferentes, pues el primero llega al punto más alto del planeta, y el segundo a nivel del mar, en lo mental los dos exigen una fuerza mental brutal. Himalayistas y regatistas oceánicos son los atletas con la mayor fuerza mental que hay”, añade.
La edición 2014-15 de la Volvo Ocean Race, el evento deportivo más largo que existe y uno de los más duros del planeta, comenzará el próximo día 4 de octubre en Alicante.

Fuente: VOR

Museo Marítimo Ría de Bilbao. Exposición Surfboard Master Pieces

Durante todo el mes de agosto en el Auditorio del Museo Marítimo Ría de Bilbao se podrá visitar , de forma gratuita, la exposición “ Surfboard Master Pieces” y el proyecto Kind Surf creados por el surfista Aritz Aranburu y modelo internacional Almudena Fernández.
El surf, el arte y la solidaridad se unen en un mismo escenario; el Museo Marítimo Ría de Bilbao. El museo acoge una exposición que surge de la iniciativa del campeón surfista Aritz Aranburu, la modelo internacional Almudena Fernández a través de su ONG Kind Surf y Fashion Art Institute. 




La exposición
La dimensión artística de esta exposición llega de la mano de Fashion Art Institute by Manuel Fernández. En esta ocasión, la Fundación de arte y moda del diseñador español Manuel Fernández se une a la colaboración de Kind Surf y Aritz Aranburu, en esta singular exposición, compuesta de 12 tablas y fotografías. Para ello han reunido las tablas de surf de los mejores surfistas del mundo: Kelly Slater, Graig Anderson y Eneko Acero entre otros; las cuales se han convertido en soporte artístico, de manera que artistas plásticos de reconocido prestigio ( Agustín Ibarrola, Ouka Lee…) las han intervenido con su estilo personal, y han convertido cada una de ellas en una obra de arte. Y todo esto, unido al incomparable marco del Museo Marítimo Ría de Bilbao.
Este mes es la última oportunidad para visitar esta muestra, que tras un año de su exposición en diferentes museos estatales como: La Ciudad de Artes y las Ciencias, Aquarium de Donosti o el Museo Balenciaga…, se procederá a la subasta de las tablas y demás objetos. Los fondos recaudados irán destinados a proyectos y acciones solidarias organizadas por las asociaciones implicadas.


El proyecto Kind Surf
Kind Surf es una ONG de carácter socio-medioambiental que a través de la práctica del surf y la educación medioambiental ayuda a jóvenes que se encuentran en situaciones desfavorecidas.
El objetivo de Kind Surf es favorecer su autoestima, ayudarles a que agudicen sus sentidos, coordinación y trabajo en equipo. Al mismo tiempo les enseñan a disfrutar y respetar el entorno natural en el que se realizan las actividades.

Aritz Aranburu es uno de los mejores surfistas del mundo. Es el mejor surfista español de todos los tiempos. El primer y único en alcanzar el Top 32, élite mundial de este deporte. Sus resultados deportivos, junto con su repercusión mediática, le colocan como uno de los surfistas más nombrados a nivel internacional.

TABLAS SURFISTAS / ARTISTAS
Kelly Slater ---------- Agustín Ibarrola
Aritz Aranburu ------ Chillida Bezunce
Craig Anderson ----- Abraham Lacalle
Lisa Andersen ------- Dario Basso
Hodei Collazo ------- José Ibarrola
Stephanie Gilmore -- José Manuel Ciria
Eneko Acero --------- Ouka Leele
Jeremy Flores -------- Adolfo Barnatán
Kepa Acero ---------- Pedro Sandoval
Mario Azurza --------  Chidy Wayne
Gony Zubizarreta ---- Santi Zubizarreta
Indar Unanue --------- Berto Martínez

Fuente: MMB

Match Racing: resarcirse de una penalización

Borjn Hansen y Mathieu Richard, disputan una prueba de match race en Suecia. Penaliza Richard pero se resarce al final de la prueba...


Fotograma del vídeo

Fuente: Global Virtual Solutions

Volvo Gill Optimist British National and Open Championships

La bahía de Weymouth acoge del 2 al 8 de agosto el Campeonato Nacional Británico Open de Optimist con buena representación de regatistas catalanes.

©Cristina Balcells/la mar salada.info

Un nutrido grupo de Optimistas catalanes se desplazará al Campeonato Nacional Británico de Optimist, que se celebrará en la bahía de Weymouth (sede de los JJOO Londres 2012) del 3 al 8 de agosto. La expedición es una iniciativa conjunta de cuatro clubes (CN El Balís, CN Arenys de Mar, CM Altafulla y CN Cambrils), y entre ellos estará el vigente campeón de España en categoría masculina Albert Gelpí (CN El Balís), campeón de Europa por Equipos 2013 junto a Edu Ferrer (CM Altafulla), y próximo mundialista en Argentina 2014.

©Cristina Balcells/la mar salada.info

La experiencia del Británico no es nueva para algunos de ellos; los hermanos Gelpí y Marc Cano ya han participado en varias ocasiones, y algunas de manera notable: en 2013 Albert Gelpí ganó el trofeo al mejor regatista internacional (y 3º de la general) en la flota Senior, mientras su hermano Arnau hacía lo propio en Regatta Fleet en 2010 y se clasificaba 11º de Junior en 2013. Un campeonato exigente, de buen nivel y excelente organización, y en esta edición volviendo a un campo de regatas fantástico como es Weymouth.

©Cristina Balcells/la mar salada.info

Los 14 regatistas participantes se dividirán en flotas Senior (5) y Junior (9). Compiten por el CN El Balís: Jaume Alcover, Albert y Arnau Gelpí, Alex y Sebastián Riquelme; por el CN Arenys de Mar: Alex y Pol Marsans; CM Altafulla: Eduard Ferrer y Max Urquizu; CN Cambrils: Nil Subirats, Sergi Sevil, Lluis Fargas; RCN Gran Canaria: Eduardo Ojeda; y por el QMSC & CN Vilassar de Mar: Marc Cano.

Fuente: Lola Rosano (Club Marítim Altafulla)
Fotos: ©Cristina Balcells/la mar salada.info

lunes, 28 de julio de 2014

Campeonato de Europa de la clase L´Equipe. Bronce para las españolas Begoña Pérez y Cristina Fourcade

Begoña Pérez y Cristina Fourcade terceras femeninas en el Campeonato de Europa de la clase L’equipe

La competición se ha celebrado en la localidad Italiana de Passignano sul Trasimeno



La tripulación formada por Begoña Pérez de Centro Ibérico de Vela y Cristina Fourcade del Club Náutico Alicante Costa Blanca, han finalizado terceras en el Campeonato Europeo de la clase L’equipe y quintas en la general. La competición se ha celebrado en la localidad Italiana de Passignano sul Trasimeno durante los días 19 al 25 de Julio y bajo la organización del Club Velico Trasimeno.
Éxito compartido para dos clubes que por segundo año consecutivo forman una tripulación conjunta y consiguen colocar a dos de sus jóvenes promesas en puestos de podio.
Aunque se han tenido que suspender algunas mangas debido a la inclemencias adversas del tiempo, el campeonato se ha desarrollado con pruebas variadas de viento que han oscilado entre los 5 y los 19 nudos, acompañadas de cambios constantes de dirección. Los participantes en cabeza han tenido que dar lo mejor de sí mismos para estar arriba, dando buen espectáculo durante toda la regata.
Finalmente el Campeonato se lo llevaba el equipo Francés formado por Baptiste Layus y Pierre Williot. El primer puesto femenino se quedaba en Italia gracias a la tripulación de Loano formada por Martina Galván y Alice Secco.
El equipo Español lo completaban Juan Holguín y Alejandro Pastor, del Centro Ibérico de Vela, que han finalizado en la posición 11; Elisa Fernández y Carlota García, del Cear de Santander, en la posición 18; y Lola Coello y Carmen Coello, del Real Club de Regatas de Cartagena, en la posición 36.

Fuente: Servicio de Prensa y Comunicación de la RFEV

II Semana Náutica de Puerto Sherry

Mariska gana la última prueba y consigue el triunfo en 15M y Giraldilla logra la Copa de España de Vela Clásica Zona Sur

(Archivo)

 La II Semana Clásica de Puerto Sherry, Copa de España de Vela Clásica Zona Sur-Memorial Pedro Bores se ha despedido hoy a lo grande de la bahía gaditana, con triunfo parcial y general del Mariska entre los 15M y del Giraldilla entre los Clásicos.
Puntas de 9 nudos del Suroeste y una media de 6-7 nudos de viento han acompañado a la flota en la última y definitiva manga de la Semana Clásica que ha decidido a sus ganadores sobre un recorrido barlovento-sotavento para los 15M Internacional y una costera de 14 millas hasta la Punta del Sur.
Los 15M salían esta mañana hacia el campo de regatas con 2 puntos de diferencia entre los dos primeros clasificados, Tuiga y Mariska, y dos entre el tercero y el cuarto, The Lady Anne e Hispania. Esta igualdad ha hecho que la regata de hoy fuese decisiva para la configuración de la general, buscando y aprovechando el menor despiste del rival para superarlo. Así ha sido, con condiciones de poco viento, en las que el Mariska obtiene mejores prestaciones que sus contrincantes, el barco suizo se ha alzado con la victoria mientras que el Tuiga se veía relegado a la tercera posición superado por el Hispania. Estos parciales han provocado un doble empate en la tabla, entre elMariska y el Tuiga por una parte y entre el Hispania y el Lady Anne por otra. La victoria en la última manga daba el triunfo absoluto al Mariska mientras que entre el Hispania y The Lady Anne se decidía a los mejores parciales a favor del velero inglés.
Mariska acumula así su segundo triunfo en el calendario internacional de los 15M, que tras su escala en Puerto Sherry tiene su próxima cita en la Portofino Rolex Trophy en septiembre para cerrar el programa a finales de ese mismo mes en Les Voiles de Saint Tropez.
En la flota de Clásicos, el Giraldilla, de la Fundación Isla Ebusitana patroneado por Ricardo Rubio, ha vuelto a cosechar un primer puesto para redondear unos parciales de 1-2-1 que le llevan a alzarse con la Copa de España de Vela Clásica Zona Sur. Magnífico estreno para el barco que formara parte de la flota de Don Juan de Borbón, una yola diseñada por Sparkman&Stephens de 15,88 metros de eslora que fue botada en 1963, que vuelve a navegar bajo la tutela de la Fundación con base en Puerto Sherry. Como es habitual entre las tripulaciones, el triunfo ha sido celebrado con un chapuzón del que no se ha librado su armadora, Valle de la Riva.
En segunda posición se ha clasificado el Orion, Drac One Ton de Gabriel Mateos, CM Pto Sherry, cerrando el trío de vencedores el portugués Sea Lion de Manuel Champalimaud.
La ceremonia de entrega de premios, hoy a las 21:00 horas en el Hotel HACE Puerto Sherry, pondrá fin al espectáculo en el mar, pero la fiesta continúa en tierra hasta mañana domingo día 27 de julio a las 00:00 h., con animación y fin de fiesta en Kapote-Village y visitas a una de las embarcaciones ganadoras, ‘Giraldilla’, partir de las 17:00 horas.
La II Semana Clásica de Puerto Sherry, incluida en el selecto calendario de la flota 15 M Internacional, ha contado con la organización de Puerto Sherry, la Fundación Isla Ebusitana y el Club de Mar de Puerto Sherry, con la colaboración de la RFEV y la Federación Andaluza de Vela, bajo el patrocinio de Marina de El Puerto de Santa María, la Consejería de Fomento y Turismo de la Junta de Andalucía, Mitsubishi Motors, Repsol, Osborne y Kapote; así como con la colaboración de las firmas Coca-Cola, Pernord Ricard, Cruzcampo, Bodegas Gran Feudo, Plymouth Gin, Vistahermosa, Panorama Vela, el Ayuntamiento de El Puerto de Santa María y el Consorcio Metropolitano de Transportes Bahía de Cádiz.

Fuente: Prensa Semana Náutica de Puerto Sherry

Barcelona World Race Ocean Campus

La Fundació Navegació Oceànica Barcelona, el Consorci El Far y la Universitat de Barcelona lanzan el Barcelona World Race Ocean Campus
  • Cursos online gratuitos a partir de noviembre.
  • La iniciativa es pionera en el mundo de la vela oceánica y son los primeros MOOC (Massive Open Online Course) lanzados por la Universidad de Barcelona.
  • El campus desarrollará cinco cursos masivos online abiertos y gratuitos basados en el conocimiento científico, humanístico y tecnológico de esta competición, la única vuelta al mundo a dos tripulantes sin escalas.
  • Los primeros cursos se lanzarán en la plataforma Canvas Instructure, de más de cuatro millones de usuarios en todo el mundo.
  • La nueva plataforma se presentará el próximo 30 de septiembre en el Centro de Interpretación Barcelona World Race.
©JorgeAndreu

La Fundació Navegació Oceànica Barcelona (FNOB), la Universitat de Barcelona y el Consorci El Far lanzarán a partir de noviembre el Barcelona World Race Ocean Campus, una plataforma de cursos abiertos basados en las disciplinas científicas, humanísticas y tecnológicas que se aplican y desarrollan en esta competición. Así ha sido acordado en el convenio firmado por el rector de la Universitat de Barcelona, Dídac Ramírez; Maite Fandos, presidenta de la Fundació Navegació Oceànica Barcelona (FNOB); y Andor Serra, Director General de la FNOB y del Consorci El Far.
Este convenio específico se enmarca en el firmado el pasado abril de 2013, por el que las tres entidades se comprometen a colaborar para divulgar el conocimiento y el potencial formativo asociado a la Barcelona World Race, primera y única vuelta al mundo a dos sin escalas.
Los cursos, que se publicarán en la plataforma Canvas Instructure, serán totalmente abiertos y la Universitat de Barcelona certificará a aquellos que lo deseen, como es habitual en este tipo de programas, en colaboración con Inlea, entidad especializada en aprendizaje virtual.

Conocimiento de alto nivel al alcance de todos
Los cursos del Barcelona World Race Ocean Campus serán del tipo MOOC, que es el acrónimo de Massive Online Open Course, un formato didáctico adoptado por las principales universidades del mundo para transmitir el conocimiento en forma de contenidos online de acceso libre y gratuito. Estos cursos sólo requieren un pago en el caso de que el alumno solicite una certificación académica.
El Barcelona World Race Ocean Campus nace con el objetivo de divulgar con rigor universitario el amplio abanico de conocimiento inherente a la vela oceánica. El Campus comenzará con cinco cursos de las disciplinas de Meteorología; Medicina; Alimentación y Dietética; Oceanografía y Cronobiología, con material ofrecido en catalán, castellano e inglés. Cada curso tendrá una duración aproximada de entre seis y ocho semanas, iniciándose en noviembre y finalizando en mayo de 2015.

Una iniciativa doblemente inédita
El Barcelona World Race Ocean Campus es una experiencia pionera en el mundo de la vela oceánica. Para la FNOB significa una prolongación natural del Programa Educativo de la regata que ha sido un referente en la transmisión del potencial formativo de la vela oceánica en el ámbito escolar. Con los MOOC, la FNOB da un paso más a la hora de divulgar este conocimiento al ámbito universitario y profesional, o simplemente ponerlo al alcance de todos los aficionados a la vela, el deporte, la ciencia y la tecnología.
Para la Universitat de Barcelona también se trata de una iniciativa novedosa puesto que, aunque está trabajando en diferentes proyectos, el Barcelona World Race Ocean Campus representará los primeros MOOC lanzados por la institución.
Los contenidos se están desarrollando conjuntamente por profesores de la Universitat de Barcelona y el departamento educativo y editorial de la Barcelona World Race, así como con profesorado de instituciones especializadas como es el caso del Hospital Quirón-Teknon o el Instituto de Ciencias del Mar del CSIC. Los cursos también incorporarán la colaboración de destacados especialistas en cada disciplina.
El Barcelona World Race Ocean Campus será presentado oficialmente el 30 de septiembre en el Centro de Interpretación de la Barcelona World Race.

Acerca de la Universidad de Barcelona
La UB es la primera universidad pública de Cataluña en lo que respecta a número de estudiantes, 74.000, y a oferta formativa. Ocupa el primer lugar en producción científica del Estado, hecho que la convierte en el principal centro de investigación universitario de España y en uno de los más importantes de Europa, tanto por el número de programas de investigación como por la excelencia alcanzada en este terreno.
La UB se posiciona de forma muy destacada en los principales ranking internacionales: es la única universidad del Estado que forma parte de la élite de las 200 mejores universidades del mundo en 25 de las 30 áreas de conocimiento, según los QS World University Rankings 2014 by Subject,y también mantiene la preeminencia estatal en la clasificación de Leideny del URAP, donde ocupa la posición 94 del mundo.
Miembro de las redes universitarias de excelencia más relevantes a escala internacional, como la Liga de Universidades de Investigación Europeas (LERU), la Universidad de Barcelona ha sido distinguida con dos campus de excelencia internacional (CEI):elBarcelona Knowledge Campus (BKC) y el Health Universitatde Barcelona Campus (HUBc),encaminados a lograr la plena internacionalización, consolidar la excelencia docente y científica, apostar por políticas activas de movilidad, así como a aumentar la transferencia de conocimiento generado en la universidad hacia la sociedad.

Acerca de la Barcelona World Race y la FNOB
La Barcelona World Race es la primera y única regata de vuelta al mundo en doble (dos tripulantes). Se trata de una regata sin escalas en que cierta ayuda externa es permitida, aunque sujeta a reglas y penalizaciones.
La Barcelona World Race 2014/15 es la tercera edición de la regata. La primera fue en 2007/08. La segunda edición tuvo lugar en 2010/11. La salida se dará el 31 de diciembre de 2014 frente al Hotel W en el Puerto de Barcelona. La llegada de los primeros participantes se prevé para finales de marzo de 2015.
El recorrido es de Barcelona a Barcelona a través de "los tres cabos": Buena Esperanza, Leeuwin y Hornos, dejando la Antártida por estribor. La longitud del recorrido es de aproximadamente 24.000 millas náuticas a lo largo de la línea ortodrómica, la ruta más corta trazada sobre un mapa del mundo.
La regata es un Gran Evento ISAF (ISAF Major Event), y completará el Campeonato del Mundo IMOCA Ocean Masters con un coeficiente de puntuación de 8.
La Fundació Navegació Oceànica Barcelona (FNOB) organiza la Barcelona World Race. Fue creada con el objetivo de desarrollar y promover la navegación oceánica a través del deporte, la industria, la tecnología y la comunicación.
Para el cumplimiento de sus objetivos, la FNOB ha definido cuatro ejes estratégicos:
I+D, Educación y Conocimiento, Ciencia y Tecnología y Medioambiente.
La creación de la FNOB en el año 2005 fue el resultado del trabajo de una plataforma constituida por el Ajuntament de Barcelona, la Fira de Barcelona, la Autoritat Portuària de Barcelona y la Cambra de Comerç de Barcelona, teniendo al Consorci EL FAR como coordinador.
La FNOB ha integrado en sus proyectos al tejido universitario, institucional y empresarial, creando de este modo proyectos de alto valor en sus cuatro ejes estratégicos.

Acerca de Canvas Instructure
Instructure, Inc. desarrolló el Canvas learning management systempara hacer la enseñanza y el aprendizaje más fácil para todo el mundo y en cualquier lugar. Canvas potencia el aprendizaje en cada contexto mediante tecnologías SaaS (Software as a Service, Software como servicio) abiertas. Y a través de Canvas Network, Instructure proporciona una plataforma en la nube donde profesores, estudiantes e instituciones de todo el mundo pueden contectarse y planificar su propio curso para su mejora personal, desarrollo profesional e investigación académica. Ver más en www.instructure.com.

Acerca de Inlea
Inlea es una empresa dedicada a establecer vínculos entre empresas Líderes en Tecnología e Instituciones Educativas, para adecuar la formación de estudiantes a las necesidades del mercado laboral. Para cumplir con esta misión, Inlea desarrolla programas educativos a través de servicios como la creación de contenidos e-learning interactivos, Entornos Virtuales de Aprendizaje, Exámenes y Certificaciones. Con más de 10 años de experiencia, Inlea provee dichos servicios a empresas Líderes en Tecnología e Instituciones Educativas en unos 100 países desde seis ubicaciones internacionales (Silicon Valley, Londres, Moscú, Montreal, Sao Paulo y Barcelona).

domingo, 27 de julio de 2014

Match Race Alpari desde Sopo (Polonia)


Match Race Alpari en Castellano desde Sopo Polonia a partir del 31 de Julio


Fuente: globalvirtualsolution.com

"España a Vela" los domingos en la sobremesa de RTVE 2

Hoy domingo 27 de julio da comienzo en la 2ª cadena de RTVE a las 15:00 la serie documental que llevó a cabo un equipo de grabación junto a la tripulación del "Gran Jotiti"


"España a vela" relatará el recorrido de este barco por todo el litoral español, su visita a los puertos más emblemáticos y los sitios de interés de su entorno, gastronomía, gentes, anécdotas…

En el primer episodio se relatará enl recorrido por el Pais Vasco, desde Hondarribi hasta Bilbao.

La cita, los domingos a las 13:00 en la 2ª de RTVE

Paula Igual Campeona del Mundo Absoluta de la clase BIC Open

La regatista de El Masnou también se hizo con el cetro intercontinental en la categoría femenina

Seis contundentes primeros entre las nueve mangas celebradas en Alemania ratificaron su dominio


Paula Igual se ha proclamado hoy en Alemania Campeona del Mundo Absoluta de la clase Bic Open, un cetro intercontinental ganado con mérito, al hacerse con seis de las nueves mangas celebradas en las aguas del mar Báltico.
La regatista catalana de El Masnou, de tan sólo 15 años de edad, ha dominado de principio a fin la cita con la modalidad en Travemünde, localidad alemana que desde el pasado 18 de julio acogió la cita con la clase, permaneciendo todos los días en puestos de podio, siendo el peor de sus resultados, un tercero parcial. Este rédito da buena muestra del crecimiento exponencial de Igual en la clase a nivel mundial, ya que el pasado año se había hecho con el título mundial en categoría femenina. En esta ocasión, a parte de revalidar su dominio en la misma categoría, la regatista española regresa a Barcelona con el trofeo absoluto de la modalidad, un éxito del que se siente muy satisfecha, aunque agotada del esfuerzo realizado y con las manos destrozadas, al ser una semana dura e intensa de competición, donde el viento estuvo rondando siempre los 18 nudos de intensidad media.
Paula Igual se desplazó a Alemania como representante de la Selección Nacional de Bic Open. Aun cuando entre sus previsiones iniciales no contaba de traerse para España el título mundial, si estaba segura de hacerse un hueco en el podio, al ser el Bic Open una de sus especialidades, clase que combina en competición con el 420.
La regatista de Alella se ha subido esta tarde a lo más alto del cajón con 8 puntos, un podio compartido por la representante de la República Checa, Veronika Zivna, que ha sido segunda con 20. El puesto bronce ha sido para el italiano Filippo Monticelli, con 23 puntos.
El listado de participantes se cierra con más de un centenar de regatistas de todo el mundo, lo que amplía la dimensión del campeonato mundial obtenido por Paula Igual.

La próxima edición del World ChampionShip de Bic Open se trasladará hasta Australia, en 2015.

Fuente: Servicio de Prensa y Comunicación de la RFEV

sábado, 26 de julio de 2014

El Real Club Náutico de Barcelona organizará el Campeonato del Mundo ORC 2015


Barcelona será sede del Campeonato del Mundo ORC 2015 del 27 de junio al 4 de julio. 

La cita mundial confirma la excelente organización que ha desarrollado el Real Club Náutico de Barcelona en los últimos años.

El Real Club Náutico de Barcelona se refuerza en su papel como organizador de regatas de primer nivel tras la decisión del Comité de la clase ORC de designarle sede del Campeonato Mundo ORC 2015.

  
Joaquín Barenys, Vice Comodoro del RCNB y Director del Campeonato del Mundo ORC 2015, muestra la gran satisfacción que para el RCNB supone esta cita intercontinental: “Para el Real Club Náutico de Barcelona constituye una gran satisfacción ser el organizador del Campeonato del Mundo ORC 2015. Nuestro Club, a lo largo de sus 140 años de historia, ha tenido la ocasión de albergar grandes competiciones de vela y estamos seguros de que nuestra experiencia unida a la renovada ilusión del equipo organizador puede proporcionar un magnifico evento”.
Si las grandes citas del circuito ORC mundial en 2014 han tenido como protagonistas a Kiel –Alemania- y Valencia –España- con la disputa del Campeonato del Mundo y el Europeo respectivamente, 2015 será sin duda la gran cita para el Real Club Náutico de Barcelona y la Ciudad Condal. Las fechas de la celebración de este Mundial ORC, al que se presume acudan más de un centenar de embarcaciones internacionales, quedan marcadas entre el 27 de junio y el 4 de julio del próximo año. 
“Las fechas escogidas – 27 junio al 4 de Julio – nos hace ser muy optimistas respecto de número de participantes previsto”, añade Barenys, “Además Barcelona, con más de 10 millones visitantes al año, posee unas excelentes infraestructuras hoteleras y de comunicaciones. Queremos agradecer el decidido apoyo del Ayuntamiento de Barcelona y del resto de las Instituciones el cual nos permitirá organizar un mundial de acuerdo a la tradición deportiva de nuestra ciudad y nuestro club”.


España cuenta con un importante papel en cuanto a flota de cruceros ORC con una nutrida flota y de la que se deja constancia en Trofeos nacionales e internacionales desarrollador por el litoral español y grandes citas como el Trofeo Conde de Godó –Barcelona-, la Copa del Rey-MAPFRE –Palma de Mallorca- o el Trofeo S.M la Reina –Valencia-.
"La clase ORC está más que satisfecha con la designación de Barcelona como sede del Campeonato del Mundo ORC 2015”, declara Bruno Finzi, Presidente del ORC, "La ciudad cuenta con un increíble historial en cuanto a la organización de regatas a nivel mundial y no tenemos duda que el Campeonato del Mundo ORC 2015 encaja a la perfección en ella. Será una prueba muy atractiva, tanto para los participantes locales como todos aquellos venidos de fuera”.
"El hecho de poder anunciar con casi un año de antelación este Campeonato del Mundo ORC bajo la organización del Real Club Náutico de Barcelona es un gran paso cara al éxito de la cita deportiva”, comenta Paolo Massarini, Presidente de las clases ORC y Comité de Eventos, “2015 será un año con muchas citas de gran valor y hemos trabajado mucho para coordinar los calendarios. 

Fuente: Prensa Campeonato Mundo ORC 2015


jueves, 24 de julio de 2014

Guia de Yates Clásicos de Panerai

"Panerai Guide to Classic Yachts"

Lo último de Panerai para iPad e iPhone


Con motivo de la décima edición del circuito más importante de barcos de época, el Panerai Classic Yachts Challenge, Officine Panerai ha presentado una nueva aplicación de descarga gratuita para iPad y iPhone disponible en italiano e ingles.
A través de gestos sencillos, el usuario de la nueva aplicación “Panerai Guide to Classic Yachts” accederá de manera inmediata a una extensa base de datos de barcos clásicos. Esta aplicación, dirigida a los amantes de los barcos y del mar, es de fácil consulta y permite acceder a información detallada sobre las características e historia de los barcos clásicos todavía a flote, muchos de ellos participantes de las regatas organizadas por Officine Panerai. El contenido de la guía, en parte disponible en la web se ha ampliado tanto en 500 nuevos registros como en archivo fotográfico e información adicional. Cada registro recoge fantásticas fotografías, características técnicas y detalles sobre la procedencia e historia de cada barco.
El diseño cuidado y funcional de esta aplicación pone de manifiesto la belleza de cada embarcación a la vez que transporta al usuario más allá del tiempo y del espacio. Cada clásico es una obra de arte única capaz de transmitir una historia única y llena de pasión. La navegación virtual, la fascinación y la autenticidad que caracterizan a estas damas del mar despiertan el deseo inmediato de soñar y viajar.
A través de un menú intuitivo se puede acceder de forma sencilla a toda la información de los datos. La búsqueda de los barcos se puede hacer según su categoría Vintage (Época), Classic (Clásicos) y Spirit of Tradition (Espíritu de tradición) o por el tipo de vela. Por su parte, la sección “Anniversary” agrupa los barcos con más de 100 años de antigüedad organizados cronológicamente con su fecha de construcción y edad. Además, un sistema interno de búsqueda permite al usuario navegar por todo el archivo de barcos indicando el tipo de vela, la categoría o el año de construcción.
Por último, la aplicación “Panerai Guide to Classic Yachts” incluye un glosario de consulta de términos técnicos utilizados en el

Descarga gratuita disponible:

 Para iPhone

 Para iPad

Officine Panerai
Fundada en Florencia en 1860 como taller, tienda y escuela de aprendices de relojería, Officine Panerai fue durante muchas décadas proveedora general de instrumentos de precisión de la Armada Italiana, principalmente del cuerpo especial de submarinismo. Los diseños que Panerai creó en aquella época, incluidos los relojes Luminor y Radiomir, estuvieron protegidos por la ley de secretos militares durante años y su lanzamiento en el mercado internacional no tuvo lugar hasta la adquisición de la marca por el grupo Richemont en 1997. En la actualidad, Officine Panerai desarrolla y elabora sus relojes y movimientos en la manufactura de Neuchâtel. Esta manufactura representa una fusión perfecta entre el estilo del diseño italiano y la maestría relojera suiza. Los relojes Panerai se venden en todo el mundo en una red exclusiva de distribuidores y boutiques de la marca. www.panerai.com

Trofeo Panerai Classic Yachts Challenge
En honor a sus vínculos históricos con el mar, Officine Panerai lleva muchos años promocionando la cultura de la navegación clásica mediante el patrocinio del trofeo Panerai Classic Yachts Challenge, el principal circuito internacional de embarcaciones de época. En 2007, la firma adquirió y restauró el queche bermudiano Eilean. Construido en 1936 en el legendario astillero escocés Fife de Fairlie, es actualmente el embajador de la marca en los circuitos y regatas de embarcaciones de época y clásicas.

Fuente: Oficina de Prensa Panerai

miércoles, 23 de julio de 2014

BWR. Pharmaton® se une a la regata patrocinando al "One Planet One Ocean"

Pharmaton®, patrocinador del One Planet One Ocean para la Barcelona World Race

Pharmaton®, la marca de referencia de complementos vitamínicos, patrocina el barco "One Planet One Ocean" abundando en su compromiso con la salud y el deporte

  • La presentación del equipo tendrá lugar el 18 de septiembre en la Ciudad Condal.
  • Tras un exhaustivo refit del barco, Aleix Gelabert y Dídac Costa completarán este verano su recorrido de calificación de 2.800 millas en el marco de un intenso plan de entrenamiento.
  • El dúo colaborara en diversos proyectos científicos durante la vuelta al mundo.
Pharmaton® ha confirmado su patrocinio del velero One Planet One Ocean para la próxima Barcelona World Race, regata de vuelta al mundo a dos cuya tercera edición zarpa de la Ciudad Condal el próximo 31 de diciembre. El barco de la clase IMOCA 60 pasará a conocerse como One Planet One Ocean.
La reconocida marca de complementos vitamínicos refuerza de este modo su compromiso con el deporte. A la vez, Pharmaton® acentúa su vocación científica, al dar su apoyo a los proyectos del equipo One Planet One Ocean, que además de la vertiente deportiva, tiene una destacada misión de investigación oceanográfica.
El dúo formado por Aleix Gelabert y Dídac Costa colaborará en diversos proyectos científicos durante la vuelta al mundo, a través de la colaboración entre la Fundació Navegació Oceànica Barcelona (FNOB) y la Conferencia Oceanográfica Intergubernamental de la UNESCO (COI-UNESCO). Estos proyectos se realizarán en colaboración con el Institut de Ciències del Mar (ICM) del Consejo Superior de Investigaciones Científicas (CSIC), la Fundació Barcelona Digital Centre Tecnològic (FBCT), el Citclops / European Commission 7th Framework Program y el Institut Químic de Sarrià (IQS).
El One Planet One Ocean colaborará junto al resto de la flota en dos proyectos: el lanzamiento al mar de una baliza Argo para la medición de la temperatura y salinidad a distintas profundidades, y la evaluación de la calidad del agua superficial para el proyecto Citclops. Además, el equipo tiene otras misiones oceanográficas propias como:
  • La medición de la salinidad y temperatura del agua superficial del mar a lo largo del recorrido de la regata.
  • La medición de la concentración de microplásticos en el agua.
Los resultados del One Planet One Ocean contribuirán a los esfuerzos de la comunidad científica, coordinados por la COI-UNESCO, y constituirán parte fundamental de la vertiente educativa de la Barcelona World Race.
El dúo ha estado trabajando en la preparación (refit) del barco y este verano tiene un intenso plan de navegación, que incluye la calificación para la Barcelona World Race. Para ello, recorrerán un mínimo de 2.800 millas a dos en el Atlántico. Tras alcanzar este hito, el equipo celebrará el apoyo de Pharmaton® con una presentación ante los medios de comunicación el próximo 18 de septiembre en Barcelona.

Fuente: Prensa BWR

Drake & Horn 1616-2016 Regatta. Una nueva regata oceánica para celebrar los 400 años del Cabo de Hornos


La presentación oficial de la Drake & Horn 1616-2016 Regatta tuvo lugar durante la cena inaugural de la 13ª edición del Trofeo Bailli de Sufren organizado por el Mare Nostrum Yacht Club. En la presentación estuvieron presentes Pierre Hugo, presidente de la orden de Bailli de Sufren y propietario de una decena de yates clásicos; el alcalde de Saint-Tropez; el Presidente de la Sociedad Náutica; el Prefecto Marítmo del Mediterráneo; el presidente de la orden de Malta y el embajador de Malta en Francia, así como algunos almirantes y otros equipos.



La Drake & Horn Regatta 1616-2016, una nueva y mítica regata que reunirá desde veleros clásicos a goletas y yates modernos de todo el mundo para emprender una aventura que dará comienzo el 25 de octubre de 2015 en Saint-Tropez.
Un gran viaje que llevará a la flota al Cabo de Hornos en enero de 2016, atravesando el pasaje de Drake para conmemorar el aniversario de su descubrimiento. Posteriormente regresarán a Estambul, para participar en la regata de clausura en el Bósforo, que simbolizará el vínculo marítimo creado hace 400 años entre Europa y Asia.
El gran marino Lionel Péan, con un extenso palmarés a sus espaldas, expresaba así su deseo de cumplir uno de sus sueños más preciados: “Tenía un sueño, conseguir cruzar el Cabo de Hornos y sobre todo ganar una regata alrededor del mundo. Luché y conseguí realizar este sueño con un equipo grandioso en el magnífico Esprit d’Equipe. Pero desde entonces he tenido otros sueños y he querido compartir el de ver a las goletas y yates modernos cruzar el Cabo de Hornos en una regata. Después de muchas conversaciones con otros navegantes, propietarios, capitanes y equipos, tracé en un papel el proyecto de la Drake & Horn 1616-2016 Regatta. ¿Por qué este nombre? Primero porque Drake es un ser humano y lo que más nos motiva son las historias de los hombres. Horn porque es la experiencia de una vida y porque al menos 2.500 personas han cruzado el cabo de Hornos en regata. 2015/2016 porque fue hace 400 años cuando nuestros predecesores nos mostraron la ruta”, afirmaba Lionel Péan.


Una pequeña historia
En junio de 1614, hace 400 años, Jacob Le Maire y Willem Schouten, apoyados por los comerciantes de la Ciudad de Hoorn (Dinamarca) y otros armadores, decidieron emprender una expedición para voltear el racket de la Compañía de las Indias, que controlaba el pasaje marítimo hacia la India por el este, a través de Cape Town y el cabo de Buena Esperanza, y por el oeste por América del sur y el estrecho de Magallanes, siendo éstas las únicas rutas conocidas.
Armaron dos barcos, uno llamado Hoorn, el nombre de su ciudad natal, y Eendracht, y salieron de Texel en junio de 1615 hacia lo desconocido.
El Hoorn desapareció por el camino, sin embargo, después de un duro viaje y de numerosos ensayos, Eendracht consiguió pasar el 29 de enero de 1616 un cabo desértico y nevado, que bautizaron como el Cabo de Hornos. De esta forma, Schouten y Le Maire abrieron una nueva ruta hacia la India y sus especias por el pasaje que tomó el nombre de Drake.

VOR. Volvemos al mar.


La evolución fue la aventura que nos sacó del mar.
Del 2 al 11 de octubre volvemos a la aventura.
Volvemos al mar.

Enrólate


Fuente: Volvo Ocean Race Alicante

martes, 22 de julio de 2014

Europeo J80 El Balis. Los que se quedaban en tierra para que otros salgan a la ma

Europeo J80 El Balis. Los que se quedaban en tierra


Un recuerdo para los patrocinadores que con su apoyo desde tierra se ha podido celebrar exitosamente esta competición, el Europeans Championship 2014 El Balis.


Durante estos días nos hemos vestido con la ropa de Gaastra, hemos dormido en el Hotel Atenea Port, no ha faltado la cerveza Bavaria y cada día veíamos las fotos y vídeos en los monitores Samsung.


El primer día, durante la ventosa presentación, el restaurante Santa Marta ofreció un sabroso "picoteo" que estuvo regado por ese blanco tan rico que ofrece las bodegas Raimat, y además, varias empresas comerciales ofrecieron divertidas fiestas:




"Strawberry Party" por Dr. Sails y "Cava Party" por Mc Lube 


Aleix Gelabert, que junto a Dídac Costa participará en la BWR, también participó en los actos de la mano de FNOB. Y para los desplazamientos, teníamos un Wolkswagen que puso el concesionario Motorsol a nuestra disposición.


Los vencedores lucen en sus muñecas los relojes de Eurocrono.


Y como no, agradecer el entusiasmo y buen hacer de todos los componentes del Club Náutico El Balis: directivos, monitores, marinería, oficinas, etc., así como jueces, comités y balizadores, y junto a ellos también colaboraron en la organización la RFEV, la Federació Catalana de Vela y la Asociación de la Clase J80, y también se unieron a esta fiesta de la vela los Ajuntaments de Sant Andreu de Llavaneres, de Sant Vicenç de Montalt y de Caldes d'Estrac, la Generalitat de Catalunya, esportcat, Diputació Barcelona, CSD y J80 El Balis.


Gracias a todos ellos por hacer posible este magnífico evento.

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